Le Judaïsme provient de textes sumero-babyloniens
Les néo-chercheurs et les néo-scientifiques qui se sont dotés
aujourd’hui d’une technologie plus adaptée, plus performante et d’un
sens critique plus aigu, réécrivent petit à petit l’Histoire. Ce sens
critique fait enfin surface, celui qui avait disparu ou qui n’avait
jamais existé afin d’empêcher les dogmes d’être remis en question pour
éviter de briser les tabous et d’ensevelir les mensonges.
Les religions, les systémes dominateurs, le darwinisme et le créationnisme vivent leur dernières heures. Même l’astronomie doit réinterpréter ses théories et ses conclusions. Le XXI siècle sera une révolution des esprits de par la fin de ces dogmes qui ont anéanti la conscience de l‘humanité en faveur d‘une élite toujours identique ; si la politique et la finance remplacent les religions, ces dernières continent malgré tout d’œuvrer dans l’inconscient, il est donc urgent d’instaurer une vraie démarche spirituelle.
Les religions, les systémes dominateurs, le darwinisme et le créationnisme vivent leur dernières heures. Même l’astronomie doit réinterpréter ses théories et ses conclusions. Le XXI siècle sera une révolution des esprits de par la fin de ces dogmes qui ont anéanti la conscience de l‘humanité en faveur d‘une élite toujours identique ; si la politique et la finance remplacent les religions, ces dernières continent malgré tout d’œuvrer dans l’inconscient, il est donc urgent d’instaurer une vraie démarche spirituelle.
Un travail impossible pour certains, car
nous ne pouvons concevoir une autre réalité qu’en fonction de
l’élargissement de notre propre conscience.
Depuis plus de 120 ans des découvertes importantes ont été passées sous silence comme celles des Tablettes d’argile retrouvées dans l’ancienne Mésopotamie, Sumer, Ur, Ninive, Uruk, (les + anciennes écritures à ce jour) celles de Nag Hammadi en Egypte, celles du désert de Taklamakan en Chine, au Pérou et au Mexique, l’histoire incroyable des Dogons du Mali qui connaissaient déjà comme les Sumériens (3800ans) toutes les planétes et leur composition, celle des Hopis d’Arizona et, bien d’autres, sur tous les continents.
Un silence coupable s’est abattu sur nos
écrans et dans nos livres de peur que tous les enseignements acquis ne
s’écroulent dans la conscience collective et qu’un séisme ravageur ne
vienne détruire la vie de ceux qui ont mentis, qui continuent de nous
mentir et de ceux qui se sont tout bêtement trompés.
Nous apprenons que l’histoire du Livre
des Hébreux, le Tanakh, n’est que la copie falsifiée de textes retrouvés
en Mésopotamie, en Akkad, en Babylonie et en Egypte. Un scribe, enfin
des scribes sans scrupule (ils seraient quatre ou cinq sur plusieurs
siècles) ont pioché dans l’Enuma Elish, l’épopée de Gilgamesh, celle
d’Atrahasis, dans le Code d’Hammurabi, dans les croyances et les codex
de l’ancienne Egypte pour se construire une identité et pour modifier à
leur convenance les récits dits, mythographiques par certains, et
évhéméristes par d’autres.
Ces scribes misogynes ont en premier
lieu éradiqué le culte féminin pour l’ériger en un culte monothéiste,
masculin, profondément phallocrate et dominateur ; puis ils ont viré les
nombreux dieux de Sumer, d’Akkad, de Babylonie et d‘Egypte ; même si la
Genèse reste sans équivoque quand elle parle d’Elohim, désignant un
pluriel et des Néphilims.
Il faut bien reconnaître que depuis les
premières versions en araméen, en hébreu, les traductions de la
Septante, celle de la Vulgate, celle de l’Historiale et les divers
conciles qui ont fait de très nombreuses manipulations à l’avantage du
clergé, et non pour celui des croyants, avec des retraits et des ajouts
successifs, il faut avouer que la Bible nous en fait perdre notre
latin.
Le Christianisme reprendra à son compte
plus tardivement les mêmes récits ; avec tout autant d‘irrespect envers
les femmes dans l’écriture d’évangiles, de lettres et d’épitres comme
ceux de saint Augustin, saint Paul et par d’autres écrits comme ceux de
Tertullien par exemple, pour ne citer qu‘eux. Mais le livre apocryphe
d’Enoch, aussi très violent, retiré du canon biblique car jugé dangereux
par la théocratie, est clair. Les princes, les rois et les puissants
(Clergé compris) doivent se faire du mouron pour s’être rendus
coupables d’abus sur les faibles, en déshonorant et en ensanglant la
Terre et en bafouant le vrai Dieu. La Justice sera rendue.
St Thomas : Le royaume de Dieu est en
toi et tout autour de toi. Pas dans les édifices de bois et de pierre.
Fend le morceau de bois et je suis là. Soulève la pierre et tu me
trouveras.
Evangile apocryphe de la paix du disciple Jean qui honore la Mère au même titre que le Père ici
Evangile apocryphe de la paix du disciple Jean qui honore la Mère au même titre que le Père ici
Le texte de la Création, celui du
Déluge, ceux sur la Cosmogonie (Tiamat, Nibiru pour Sumer), l’Astronomie
et la présence du ou des serpents évoquant une race reptilienne,
de dieux venant du ciel se retrouvent dans des récits i-den-tiques sur
tous les continents(dans 244 cultures). Ils le sont sur le fond
uniquement, car, sur la forme les noms sont diffèrents en fonction des
civilisations et des pays.
Ces découvertes montrent également que
des sociétés antédiluviennes ont permis de transmettre leurs savoirs aux
homo-sapiens et que les dieux et les déesses n’étaient en fin de compte
que des hommes et des femmes très évolués technologiquement et ayant
des pouvoirs psychiques et cosmo-telluriques, perdus depuis.
Mais revenons à notre génie juif. Comme
la sauce n’était pas encore assez épaisse et indigeste pour le commun
des mortel pour que celle-ci l’empoisonne, le clergé devait imposer une
théocratie sans faille, une monarchie religieuse qui dominerait le
peuple par une foi aveugle pour conquérir et s’installer dans un pays.
Le fondamentalisme, dans l’interprétation des textes, ne devait surtout
pas être remis en question et, pour cela, la culpabilité et la peur
devaient être les deux éléments fondamentaux, les deux piliers, les deux
leviers par lesquels la domination allait s’exercer dans les esprits et
par laquelle un obscurantisme allait s’abattre implacablement sur les
peuples, pour y régner encore de nos jours.
Afin
que le peuple ne puisse se rebeller, s’émanciper et s‘interroger sur
ses origines, il devait avoir peur et obéir aveuglément à un Dieu
puissant, cruel à la main destructrice. La Genèse est révélatrice sur ce
sujet, elle est un texte plus qu’intéressant à étudier en tentant une
lecture herméneutique des faits pour se rendre compte de la violence et
de la cruauté de ce dieu, de certains de ses anges et de certains de ses
fils.
Un
dieu de l’Ancien Testament qui a usurpé les créations inscrites sur des
tablettes d’argile antérieures de 2000ans à Moïse, celle d’une grande
déesse sumérienne en y ajoutant sa propre vision délétère de la relation
au Divin qui, en fait, nous en éloigne dans les trois religions
monothéistes de la réelle Source divine et de la Création. Puis les
dieux tels qu’An, Enki, Enlil et les déesses telles que la très grande
Nammu (mère primordiale de la Terre et du ciel ), Innana (Isis) et
Ninhursag disparaitront pour donner naissance à ce dieu unique. Et
Atrahasis sera tout simplement remplacé par Noé, le Dilmun par
l’Eden. Enki lui mange les plantes défendues par la déesse Ninhursag et
sera remplacé par Eve et Adam pour la faute originelle. Le décalogue de
Moïse et le Mosaïsme, puis le Judaïsme seront inspirés, non pas par
Dieu, mais par le code Hammurabi babylonien.
Difficile à admettre car nos esprits se
heurtent et s’enferment dans des croyances millénaires et comment abolir
une vérité, plutôt un sophisme, répété durant deux millénaires sans
que sa propre dignité ne soit atteinte ?.
Pour que Galilée fasse admettre la
sphéricité, l’héliocentrisme et non le géocentrisme de la Terre ,
beaucoup de sang a coulé , c’est vrai ; mais aujourd’hui personne ne
risque de procès pour croire à un autre début, à une autre origine.
En
y introduisant un péché originel, incombant en premier à la femme,
puis, à Adam, ensuite un enfer pour ceux qui ne respectaient pas la Loi,
et une culpabilité de tous les instants avec une épée de Damoclès en
permanence au dessus de nos têtes, pour ceux qui s‘éloignaient de ce
dieu, ces hébreux refoulés, ayant quand même quelques troubles de la
personnalité, pour n’employer qu’un euphémisme, et leurs descendants,
sont parvenus depuis presque 3000 ans pour les Juifs, 2000 ans pour les Chrétiens
et 1400 ans pour les Musulmans à entretenir le mensonge pour conserver
leur pouvoir sur les peuples. Cet obscurantisme a privé les êtres
humains de leur source Originelle divine et non simiesque, de
leur libre-arbitre, de la quête du véritable Dieu ou Tout unifié et du
chemin spirituel qui y mène.
Ces mensonges ataviques et millénaires
sont encore aujourd’hui le sceau, la marque innée avec laquelle nous
naissons. La faute originelle, qui n’a jamais existée, a conduit des
centaines de générations à avoir peur, à vivre dans la peur des
géhennes, à expier des péchés qui n’en étaient pas, et à faire mourir de
trop nombreux croyants qui pensaient avoir offensé Dieu.
Cet
artéfact divin a conduit la plus grande partie de l’Humanité dans
l’obscurité, à la perte de la Connaissance ou de la Lumière originelle, à
la haine des autres, aux guerres sanglantes et destructrices, à la
confiscation de la Vérité par quelques-uns, aux pillages et aux
injustices les plus dures.
Il serait temps de rendre à César ce qui
est à César. Le génie du Judaïsme ne se résume donc qu’à un simple
pillage et en une simple falsification d’anciens textes venant de
Mésopotamie, et ce, pour s‘approprier le pouvoir et exiger par le sang
une terre qui ne leur a jamais été promise par Dieu.
Pas très glorieux ni pour eux, ni pour
les Chrétiens d‘ailleurs. La Terre de Palestine appartient bien en
premier aux descendants des indigènes, les vrais Sémites qu’ils soient
aujourd’hui musulmans, hébreux ou chrétiens, mais en aucun cas aux
juifs venant pour l’ensemble de l’Europe ou des USA qui composent leur
majorité. Ces croyants ou ces athées nommés injustement, le Peuple élu de Dieu pour la Terre promise,
est une des plus grandes hérésies qui perdure. D’ailleurs le concept de
Terre promise est bien antérieur au judaïsme puisqu’il émane de l’Inde
et plus précisément de l’Himalaya et des prêtres Naacal. Ce qui n’a rien
à voir avec les Sémites.
La Terre promise appartient à tous et
est partout, et aucun dieu ne peut décider de choisir une poignée de
croyants, sauf si il est totalement humain et profondément injuste et
calculateur, pour lui offrir le bien d’autrui. La paix est donc
possible. Que la Vérité se fasse.
Certaines erreurs ou mensonges source : http://sites.google.com/site/
Lévitique :11:6 « Vous ne mangerez pas le lièvre, qui rumine, mais qui n’a pas la corne fendue » V’la que le lièvre est un ruminant !
Deutéronome :
20:16 « Mais dans les villes de ces peuples dont l’Éternel, ton Dieu, te donne le pays pour héritage, tu ne laisseras la vie à rien de ce qui respire. » Étrange Dieu qui commande d’exterminer les hommes, les femmes et les enfants…
34:5 La mise en terre de Moïse. Sachant que c’est lui qui est censé avoir écrit ce récit, ça pose un problème sémantique…
Josué :
6:5 Les murailles de Jéricho, dont les murailles d’enceinte se seraient écroulées au son des trompettes de guerre, A l’époque citée par la Bible, Jéricho n’était pas encore fortifiée!
1 Samuel :
28 Inspiré du poème sumérien où l’on voit l’ombre d’Enkidu sortir du Kur et se jeter dans les bras de Gilgamesh.
Cantique des cantiques :
Une suite empruntée au chant sumérien du mariage sacré: même style, même thèmes, détails, vocabulaire, mêmes personnages, monologues, dialogues, même langage fleuri et redondant. Voir par exemple le chant d’amour de Shu-Sin au chapitre XXI. Shu-Sin qui ressemble fort au roi Salomon dont l’existence n’est pas certaine et, s’il a existé, son règne n’a rien à voir avec celui décrit dans la Bible.
1Rois :
1:34 Les remparts de Jérusalem sous le roi Salomon: à cette époque là, Jérusalem, un modeste village, n’était pas fortifié
2Rois :
3:19 « vous frapperez toutes les villes fortes et toutes les villes d’élite, vous abattrez tous les bons arbres, vous boucherez toutes les sources d’eau, et vous ruinerez avec des pierres tous les meilleurs champs. » Quel est ce Dieu qui ordonne de semer la désolation?
Esther :
L’Esther du livre d’Esther vient de la déesse babylonienne Ishtar. Mardochée est le dieu assyrien Mardukéa.
Le livre de Job :
Le thème de Job découle directement des tablettes sumérienne de Nipur. Il utilise les termes même du « poème de la Création » qui décrit le combat de Mardouk contre Kingou: Yahvé brise le crâne de Léviathan comme Mardouk celui de Tiamat.
Isaïe :
2:4 « Il sera le juge des nations, L’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, Et l’on n’apprendra plus la guerre. » Des milliers d’années plus tard, toujours des guerres (dont beaucoup sont des guerre de religions): encore une prédiction ratée…
2:4 « Il sera le juge des nations, L’arbitre d’un grand nombre de peuples. De leurs glaives ils forgeront des hoyaux, Et de leurs lances des serpes: Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, Et l’on n’apprendra plus la guerre. » Des milliers d’années plus tard, toujours des guerres (dont beaucoup sont des guerre de religions): encore une prédiction ratée…
7:14 Une des nombreuses falsifications
de la Bible de Jérusalem: pour augmenter le nombre de prophéties
réalisées: »la jeune femme » a été remplacée par « la vierge ». Ce qui
montre au passage que l’évangile de Matthieu a été rédigé très
tardivement, par un non-juif qui n’avait pas accès aux textes hébreux.
9:11: largement inspiré du texte sumérien qui décrit la descente aux enfers du monarque Ur-Nammu qui arrive dans le Kur.
11:6-9 « Le loup habitera avec l’agneau,
Et la panthère se couchera avec le chevreau; Le veau, le lionceau, et
le bétail qu’on engraisse, seront ensemble, Et un petit enfant les
conduira. La vache et l’ourse auront un même pâturage, Leurs petits un
même gîte; Et le lion, comme le bœuf, mangera de la paille. Le
nourrisson s’ébattra sur l’antre de la vipère, Et l’enfant sevré mettra
sa main dans la caverne du basilic. Il ne se fera ni tort ni dommage Sur
toute ma montagne sainte; car la terre sera remplie de la connaissance
de l’Éternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent. ». A
peu près 3000 ans plus tard, toujours rien…
24:1 « La face de la Terre » ici, la Bible nous dit clairement que la Terre est plate….
Jérémie :
31:34 « Celui-ci n’enseignera plus son prochain, Ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l’Éternel ! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Éternel; Car je pardonnerai leur iniquité, Et je ne me souviendrai plus de leur péché. » Toujours rien.
31:34 « Celui-ci n’enseignera plus son prochain, Ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l’Éternel ! Car tous me connaîtront, Depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Éternel; Car je pardonnerai leur iniquité, Et je ne me souviendrai plus de leur péché. » Toujours rien.
48:10: L’Éternel tend un piège à David.
Forcément, David tombe dedans et il est puni : L’Éternel est content: il
a couillonné un mortel !
49:36 « Les quatre coins de l’horizon » ici aussi, la Bible nous dit clairement que la Terre est plate….
Lamentations de Jérémie :
Ces lamentations sont reprises de « La lamentation sur la destruction de Nippur », récit sumérien.
Ces lamentations sont reprises de « La lamentation sur la destruction de Nippur », récit sumérien.
4:20 « Le souffle de nos narines, l’oint
du seigneur a été pris dans leurs fosses, lui dont nous disions: A son
ombre, nous vivons parmi les nations » directement inspiré du pharaon
Ramsés II : « Toi qui est le souffle de nos narines »… »faucon qui
protège ses sujets de ses ailes et répand l’ombre sur eux »
Ézéchiel :
Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l’adoraient sous le nom d’Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
Inspiré de la déesse babylonienne Ishtar. Les sumériens l’adoraient sous le nom d’Innana, épouse de Dumuzi, le Tammouz de la Bible.
Source : www.diatala.org
L'avis de Patrice Hernu
LES
TEXTES BIBLIQUES SONT-ILS DES TEXTES SUMERO-BABYLONIENS FALSIFIES ? CE
N'EST PAS AINSI QU'IL FAUT ABORDER LA QUESTION, SELON MOI, DU MOINS...
Comme le prétend cet article
Je ne le crois pas vraiment. Je suis en train de poursuivre l'écriture de la série "genèse" et je m'en expliquerai.
Un commentateur réagit : "Je le savais depuis un moment. Un bouquin était sorti il y a quelques années relevant toutes les erreurs de traductions. Genre la connerie de la naissance de Eve depuis une côte d'Adam."
https://www.facebook.com/margothine/posts/10153125996591100…
Je n'ai pu m'empêcher de faire cette remarque qui va sans doute encore me valoir quelques flèches. Mais au point où j'en suis...
Puisqu'on évoque la cote d'Adam ou au mieux le coté. Pour le fun.
La version hébraïque de la Bible a été établie en France.
La coexistence d'un patois hébraîque pour des usages commerciaux secrets et communautaires, avait maintenu la perception d'un l'hébreu langue vivante, et donc langue humaine, alors qu'il ne s'agissait que d'un parler araméen de judée datant sans doute du 7ème s av notre ère.
Cette illusion fut définitivement rompue par les expulsions de 1396. L'hébreu basculait dans l'abstraction la plus totale. Il était réellement devenu un code, illisible et incompréhensible, bref il était enfin de l'hébreu.
Ce n'est donc pas par hasard selon de nombreux historiens, y compris rabbiniques, si par la suite la France est devenu le foyer d'une conception particulière de la langue hébraïque, fait relevé par nombre de chercheurs.
Lorsque François 1er créa le Collège de France, il voulut une chaire d'hébreu dans l'idée de concurrencer le latin trop "papal et romain". La même idée conduisit à la même époque à coder les secrets templiers et maçonniques en hébreu que personne ne comprenait et pour cause (Ronsard, Marie Stuart qui en perdit la tête!)
Il fallut un professeur. Ce fut François Tissard d'Amboise, latiniste et helléniste, qui se porta volontaire pour l'enseigner. Mais il fallait d'abord qu'il l'apprenne lui-même, car comme chacun, il n'en savait pas le premier mot. Il partit donc pour Ferrare et Bologne, où il resta deux ans, car en Italie l'hébreu était resté lui-même.
Pourquoi ? Parce que la majorité des italiens étaient d'origine hébraîque avec les berbères numides et quelques goths. Grand tabou et ironie de l'histoire puisqu'on va restaurer l'hébreu contre le latin pour des raisons politiques alors que les grandes familles romaines qui ont adapté le christianisme à leur sauce et préparé Constantin, les Flavius, sont hébraïques. Pas forcément juives. Attention. Faire la différence ! Comme Joseph Flavius (justement, et non Flavius Joseph !) qu'on accuse de plus en plus d'avoir trahi les juifs au profit des hébreux romains et surtout d'avoir préparé certaines falsifications du nouveau Testament (comme Manéthon avec la Torah avant lui !)
L'Italie (Venise peuplée de Phéniciens hébreux du Vème av jc, les villes Lombardes, Ferrare, Bologne) fut d'ailleurs le berceau de l'imprimerie hébraïque, à Venise principalement, puisque la version de l'hébreu retenue fut celle de Venise. François Tissard d'Amboise en rapporta la connaissance de la langue, il fut l'auteur de la première grammaire hébraïque imprimée en France, en 1500, mais il ne put en rapporter le sentiment de sa réalité. Et pour cause !
Alors la cote ?
La bible en hébreu fut recomposée à partir du français avec en regard les versions grecque et les éléments araméens conservés. La Bible en araméen, la vraie, étant définitivement perdue pour l'essentiel (la targum).
Or dans la version de la genèse araméenne on parlait de la cote (une petite pente) et dans la version grecque de "costa".
Comme en français, on met en général un accent circonflexe sur le "o" quand le "s" a disparu (hôtellerie vient de hostellerie, etc.), les moines ont écrit "côte" dans la version de travail.
C'était apparemment exact mais c'était faux. Car le "costa" grec vient de c-os et "ta" (comme la lettre Tau, tao, etc.) et ne désigne pas la côte mais le principe féminin. Comme dans Pentacosta, où 50 jours après la mort supposée du Christ, Madeleine, une femme à l'image de Marie, Mère et "Mer" de Dieu, fait descendra la connaissance, le cône de naissance, sur les apôtres. Ce cône est représenté dans les hiéroglyphes égyptiens qui sont la véritable origine des écritures, par une petite pente (le mont de Vénus d'où sort le premier né, la première brique de la vie).
Il en est de même dans les glyphes ougaritiques, sumériens et autres.
Bref, il n'agissait pas d'une côte ou d'un coté, mais de la racine symbolique de cote (qu'on voit sur les sièges des Pharaons et de tous les "oints" qui représentent la création primordiale"), c'est à dire du principe féminin, et d'ailleurs le son "ta", "ti" ou "tao" de costa était représenté en Egypte par un symbole apparenté à la lette "X" mais se prononçant "Tao" et précédé de ka, première brique primordiale, et "os" désignant toute la création.
En clair, dans le texte sumérien recopié par la Bible, il est fait état d'un éléments à double forme, le "moule" comme il est écrit, c'est à dire l'ADN, et la genèse écrivait, avant de dire n'importe quoi, que la femme est née du X par un jeu de mot puisque "X" est en fait un gène et que la femme est sexuellement faite de ce qui la constitue comme une "cote" (pente). Aujourd'hui on dirai XX, ou "Is-Is", prononciation greco-égyptienne, comme les grecs en ont eu la géniale intuition en transgressant le vrai nom de la vierge noire (Aset ou Aket ou Kem).
Bref le moule peut donner indifféremment un homme ou une femme et c'est exactement ce qui est écrit dans la genèse sumérienne.
Il y a bien d'autres erreurs de traduction comme par exemple le sang assimilé à l'âme (il ne faut donc pas consommer le nephesh) en raison d'une erreur de traduction du sumérien à l'akkadien.
Concernant la cote-côte, les moines ont fait l'erreur, ce qui constitue la preuve indéniable que nombre de passages de la Bible ont été reconstitués à partir d'une version en français. Mais les sémanticiens discutent sur le fait que l’erreur aurait déjà été faite au moment de la rédaction de la Bible au IIème av notre ère. Les moines n'ayant fait que la reproduire.
Il est d'ailleurs intéressant de constater une fois de plus le caractère sacré du français qui reproduit les mêmes jeux de mots et erreurs que les plus vieilles des langues.
Aussi bien je ne serais pas aussi sévère que le texte joint.
Les peuples se son toujours appropriés les textes anciens et ne les comprenant pas toujours les ont ont truffés d'erreurs sémantiques que leur propre langue contenait en germe... Il n'y a pas forcément complot ou vol. La tradition, c'est aussi un "tradere", un commerce des valeurs. Mais la langue peut constituer une monnaie plus ou moins corrompue par les années.
C'est évidemment en araméen, la langue que parlaient les hébreux, qu'il faudrait en juger. Malheureusement, les hébreux romains et vénitiens ont tout fait que le mythe de l'hébreu en sus et place de l'araméen s'impose, ce pourquoi nous avons perdu une bonne part des significations d'origine.
Patrice Hernu
Comme le prétend cet article
Je ne le crois pas vraiment. Je suis en train de poursuivre l'écriture de la série "genèse" et je m'en expliquerai.
Un commentateur réagit : "Je le savais depuis un moment. Un bouquin était sorti il y a quelques années relevant toutes les erreurs de traductions. Genre la connerie de la naissance de Eve depuis une côte d'Adam."
https://www.facebook.com/margothine/posts/10153125996591100…
Je n'ai pu m'empêcher de faire cette remarque qui va sans doute encore me valoir quelques flèches. Mais au point où j'en suis...
Puisqu'on évoque la cote d'Adam ou au mieux le coté. Pour le fun.
La version hébraïque de la Bible a été établie en France.
La coexistence d'un patois hébraîque pour des usages commerciaux secrets et communautaires, avait maintenu la perception d'un l'hébreu langue vivante, et donc langue humaine, alors qu'il ne s'agissait que d'un parler araméen de judée datant sans doute du 7ème s av notre ère.
Cette illusion fut définitivement rompue par les expulsions de 1396. L'hébreu basculait dans l'abstraction la plus totale. Il était réellement devenu un code, illisible et incompréhensible, bref il était enfin de l'hébreu.
Ce n'est donc pas par hasard selon de nombreux historiens, y compris rabbiniques, si par la suite la France est devenu le foyer d'une conception particulière de la langue hébraïque, fait relevé par nombre de chercheurs.
Lorsque François 1er créa le Collège de France, il voulut une chaire d'hébreu dans l'idée de concurrencer le latin trop "papal et romain". La même idée conduisit à la même époque à coder les secrets templiers et maçonniques en hébreu que personne ne comprenait et pour cause (Ronsard, Marie Stuart qui en perdit la tête!)
Il fallut un professeur. Ce fut François Tissard d'Amboise, latiniste et helléniste, qui se porta volontaire pour l'enseigner. Mais il fallait d'abord qu'il l'apprenne lui-même, car comme chacun, il n'en savait pas le premier mot. Il partit donc pour Ferrare et Bologne, où il resta deux ans, car en Italie l'hébreu était resté lui-même.
Pourquoi ? Parce que la majorité des italiens étaient d'origine hébraîque avec les berbères numides et quelques goths. Grand tabou et ironie de l'histoire puisqu'on va restaurer l'hébreu contre le latin pour des raisons politiques alors que les grandes familles romaines qui ont adapté le christianisme à leur sauce et préparé Constantin, les Flavius, sont hébraïques. Pas forcément juives. Attention. Faire la différence ! Comme Joseph Flavius (justement, et non Flavius Joseph !) qu'on accuse de plus en plus d'avoir trahi les juifs au profit des hébreux romains et surtout d'avoir préparé certaines falsifications du nouveau Testament (comme Manéthon avec la Torah avant lui !)
L'Italie (Venise peuplée de Phéniciens hébreux du Vème av jc, les villes Lombardes, Ferrare, Bologne) fut d'ailleurs le berceau de l'imprimerie hébraïque, à Venise principalement, puisque la version de l'hébreu retenue fut celle de Venise. François Tissard d'Amboise en rapporta la connaissance de la langue, il fut l'auteur de la première grammaire hébraïque imprimée en France, en 1500, mais il ne put en rapporter le sentiment de sa réalité. Et pour cause !
Alors la cote ?
La bible en hébreu fut recomposée à partir du français avec en regard les versions grecque et les éléments araméens conservés. La Bible en araméen, la vraie, étant définitivement perdue pour l'essentiel (la targum).
Or dans la version de la genèse araméenne on parlait de la cote (une petite pente) et dans la version grecque de "costa".
Comme en français, on met en général un accent circonflexe sur le "o" quand le "s" a disparu (hôtellerie vient de hostellerie, etc.), les moines ont écrit "côte" dans la version de travail.
C'était apparemment exact mais c'était faux. Car le "costa" grec vient de c-os et "ta" (comme la lettre Tau, tao, etc.) et ne désigne pas la côte mais le principe féminin. Comme dans Pentacosta, où 50 jours après la mort supposée du Christ, Madeleine, une femme à l'image de Marie, Mère et "Mer" de Dieu, fait descendra la connaissance, le cône de naissance, sur les apôtres. Ce cône est représenté dans les hiéroglyphes égyptiens qui sont la véritable origine des écritures, par une petite pente (le mont de Vénus d'où sort le premier né, la première brique de la vie).
Il en est de même dans les glyphes ougaritiques, sumériens et autres.
Bref, il n'agissait pas d'une côte ou d'un coté, mais de la racine symbolique de cote (qu'on voit sur les sièges des Pharaons et de tous les "oints" qui représentent la création primordiale"), c'est à dire du principe féminin, et d'ailleurs le son "ta", "ti" ou "tao" de costa était représenté en Egypte par un symbole apparenté à la lette "X" mais se prononçant "Tao" et précédé de ka, première brique primordiale, et "os" désignant toute la création.
En clair, dans le texte sumérien recopié par la Bible, il est fait état d'un éléments à double forme, le "moule" comme il est écrit, c'est à dire l'ADN, et la genèse écrivait, avant de dire n'importe quoi, que la femme est née du X par un jeu de mot puisque "X" est en fait un gène et que la femme est sexuellement faite de ce qui la constitue comme une "cote" (pente). Aujourd'hui on dirai XX, ou "Is-Is", prononciation greco-égyptienne, comme les grecs en ont eu la géniale intuition en transgressant le vrai nom de la vierge noire (Aset ou Aket ou Kem).
Bref le moule peut donner indifféremment un homme ou une femme et c'est exactement ce qui est écrit dans la genèse sumérienne.
Il y a bien d'autres erreurs de traduction comme par exemple le sang assimilé à l'âme (il ne faut donc pas consommer le nephesh) en raison d'une erreur de traduction du sumérien à l'akkadien.
Concernant la cote-côte, les moines ont fait l'erreur, ce qui constitue la preuve indéniable que nombre de passages de la Bible ont été reconstitués à partir d'une version en français. Mais les sémanticiens discutent sur le fait que l’erreur aurait déjà été faite au moment de la rédaction de la Bible au IIème av notre ère. Les moines n'ayant fait que la reproduire.
Il est d'ailleurs intéressant de constater une fois de plus le caractère sacré du français qui reproduit les mêmes jeux de mots et erreurs que les plus vieilles des langues.
Aussi bien je ne serais pas aussi sévère que le texte joint.
Les peuples se son toujours appropriés les textes anciens et ne les comprenant pas toujours les ont ont truffés d'erreurs sémantiques que leur propre langue contenait en germe... Il n'y a pas forcément complot ou vol. La tradition, c'est aussi un "tradere", un commerce des valeurs. Mais la langue peut constituer une monnaie plus ou moins corrompue par les années.
C'est évidemment en araméen, la langue que parlaient les hébreux, qu'il faudrait en juger. Malheureusement, les hébreux romains et vénitiens ont tout fait que le mythe de l'hébreu en sus et place de l'araméen s'impose, ce pourquoi nous avons perdu une bonne part des significations d'origine.
Patrice Hernu
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