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Géopolitique de la guerre contre la Syrie et de celle contre Daesh

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Lisez cet article, ne pas prenez pas tout comme vérité première, mais on y apprend beaucoup de choses sur ce qui se passe en Afrique du nord - Irak-Syrie-Liban- et puis le rôle des colonisateurs, USA-France -Turquie-Arabie Saoudite-Qatar -Israel- Grande Bretagne- Chine-Russie, et surtout sur ce que l'on ne nous dit pas: le rôle de la France dans ces conflits. Un vrai cours de géopolitique en temps réel.   Imaginons un seul instant que nous n'ayons plus besoin de gaz et de pétrole, ces pays retrouveraient immédiatement la paix. C.R. Géopolitique de la guerre contre la Syrie et de celle contre Daesh Dans cette analyse, nouvelle et originale, Thierry Meyssan expose les raisons géopolitiques de l’échec de la guerre contre la Syrie et les objectifs réels de la prétendue guerre contre Daesh. Cet article est particulièrement important pour comprendre les relations internationales actuelles et la cristallisation des conflits au Levant (Irak, Syrie et Liban).

La faute à Obama ?

par  Serge Halimi , juillet 2014 monde-diplomatique.fr Etait-il imprévoyant, cet élu de l’Illinois qui estimait dès octobre 2002 qu’une invasion de l’Irak ne ferait qu’ «   attiser les flammes au Proche-Orient, encourager dans le monde arabe les pires impulsions et renforcer le bras recruteur d’Al-Qaida   »   ? Fut-il plus visionnaire que lui, le vice-président des Etats-Unis qui promit alors que les armées américaines seraient  «   accueillies en libératrices   »   ? C’est pourtant le second, M. Richard («   Dick   ») Cheney, qui accuse aujourd’hui le premier, M. Barack Obama, d’avoir agi en Irak comme un traître doublé d’un benêt. Et qui conclut avec un culot singulier :  «   Rarement un président des Etats-Unis se sera autant trompé à propos d’autant de choses au détriment d’autant de gens  ( 1 ).   »

Le pétrole et les normes comptables du Mexique et de l’Irak

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par Alfredo Jalife-Rahme Malgré les pressions états-uniennes, l’Irak a refusé d’inscrire ses réserves pétrolières dans son bilan, c’est-à-dire de les céder aux compagnies étrangères par une simple voie comptable. Le Mexique, par contre, l’a fait. Conclusion : il est peu probable que le Mexique soit envahi par une armée privée comme l’Irak l’est aujourd’hui.