Les mains d'amour
Travailler sur la fine couche énergétique qui enveloppe le corps de tous les êtres vivants, juste avec ses mains, sans même un contact sur la peau... Avoir les mains d'amour, être un faiseur de bien...
L'art de guérir remonte aux prédiluviens, on pourrait dire aux dieux d'avant.
L'homme a toujours su guérir. D'abord il s'est guéri lui-même. Puis il a
douté de lui, la raison et la religion l'ont dissuadé de s'aider
lui-même, pour l'âme comme pour le corps il a fait confiance à des
spécialistes. Vinrent les chamanes, les druides, les moines, les gurus,
les confesseurs, les rabbins, les imams et les ayatollahs. Ils soignent
le corps en soignant l'âme ...ou ils l'affaiblissent en bloquant l'âme.
Tout ça parce qu'on a oublié l'art de se guérir
soi-même. C'est dans ce contexte démissionnaire qu'est né l'art de
guérir. Ceux qui le pratiquent ne sont pas différents des autres, ils
ont tout simplement gardé - ou retrouvé - le chemin de leur magie
intérieure.
Guérir est comme un vieux flacon qui a reçu trop d'étiquettes. La dernière née, quantum touch, ou toucher quantique, fait référence à la théorie des champs
en physique quantique. Elle illustre l'imagination des faiseurs de bien
...et leur besoin de reconnaissance. Pratiqué avec la paume ou le dos
des mains, le toucher quantique s'exerce sur la deuxième personne ou corps subtil. Bien que le corps physique soit le principal bénéficiaire, il n'y a pas de contact avec la peau du patient,
"L'interaction de l'énergie du
guérisseur et de celle du patient génère un champ magnétique ou
bioélectrique : c'est l'action naturelle du Vril humain. Le quantum touch consiste principalement à débloquer les canaux d'énergie." (source)Dans
la technique du toucher quantique, le praticien se doit d'être
sensitif, mais pas nécessairement voyant. La vision subtile des couleurs
vives des auras n'est pas forcément un plus dans cette pratique. Un
praticien raconte son vécu à ce propos.
En règle générale, on évite tout travail sur l'aura. Si l'on veut la sentir
toutefois, il faut s'approcher du corps physique avec le dos des mains
face au sujet. Pourquoi le dos de la main ? La polarité de l'aura n'est
pas la même : avec la paume, on peut sentir le corps subtil ; avec le
dos des mains, on sent l'aura. A deux ou trois mètres du corps, on
sentira un léger rebond, une élasticité caractéristique. C'est la "coquille" de l'aura. Stop ! On s'arrête là. L'aura dépasse les compétences du meilleur d'entre nous.
L'aura est notre âme immortelle, ou plutôt
son image terrestre. Elle impose un total respect. Tant que nous sommes
dans ce corps de chair, l'aura est notre protection la plus sûre. Dans
la tradition à laquelle j'appartiens, la seule action qu'un guérisseur
peut avoir sur l'aura, c'est le compactage. On l'exerce en
agissant sur le corps subtil, et non sur l'aura. Par son action sur le
corps subtil et sur le schéma énergétique, le praticien remet en route
des mécanismes subtils qui ne demandent qu'à fonctionner.
Les Amérindiens appellent ces mécanismes "le guérisseur intérieur"
Thierry
Janssen, ex-chirurgien devenu psychothérapeute, a parcouru le long
chemin qui mène d'une médecine mécanisée, quasi-déshumanisée, à une
approche globale, holistique, de la personne et de son trouble. "La guérison est un concept qui permet de faire le lien entre le corps et l'esprit, explique-t-il. Dans
les cultures asiatiques, qui n'ont jamais séparé le corps et l'esprit,
l'énergie est au centre des systèmes de guérison : Prana en Inde, Qi en
Chine, Ki au Japon, etc." (source)
source http://eden-saga.com
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