Le suicide

 "Le suicide, c'est l'espoir pour ceux qui n'en ont pas"... il me semble important ici de publier à nouveau l'interview d'Anne Givaudan, auteure du livre "La rupture de contrat - Message des "suicidés" au monde des "vivants"... Puisse ce message toucher le plus grand nombre...


Interview de Anne Givaudan par Jacques Morin (2008)
Chaque année, plus de 10 000 personnes se suicident rien qu'en France ; ce qui représente un suicide toutes les 50 minutes. Les femmes et les jeunes sont plus nombreux à tenter de mettre fin à leurs jours, mais les décès concernent surtout les hommes (3 suicides sur 4) et les plus de 65 ans (1/4 des décès). On s'interroge beaucoup sur le suicide et c'est Anne Givaudan, avec son livre “La rupture de contrat” (paru en 2008), mais aussi dans l'interview suivant, qui nous apporte des réponses.
Jacques Morin : "Aujourd'hui, on parle de votre dernier livre "La rupture de contrat - Message des "suicidés" au monde des "vivants". Comment on en arrive à écrire un livre comme celui-là ?"
Anne Givaudan : "Eh bien, justement, je me suis posée la question au début parce que, habituellement, comme mes lecteurs le savent, c'est toujours par le phénomène de décorporation que j'ai accès aux mondes de l'au-delà et il y a toujours un guide de l'autre côté qui me propose tel ou tel sujet ou telle rencontre, un peu comme à un reporter à qui l'on demande de consigner certaines choses vécues. Mais cette fois, lorsque j'ai su que j'allais avoir des rencontres avec des personnes qui se sont suicidées, je dois dire que j'avais un grand point d'interrogation, parce que c'était un monde que je ne connaissais pas vraiment, même si je connais les mondes de l'après-vie, et puis c'est un sujet que je trouvais un peu lourd. J'étais donc un peu perplexe, mais je me suis dit : "Ok, on verra bien ce qui va se passer." Et c'est comme cela que j'ai été propulsée dans le monde d'avant-vie et d'après-vie des suicidés. Evidemment, au départ, j'avais peur de trouver des personnes en souffrance, mais, au contraire, je me suis aperçu que ces personnes-là avaient un énorme amour pour pouvoir me raconter les circonstances de leur suicide et un grand amour aussi pour le monde des "vivants". Donc, en fait, j'ai été de surprise en surprise, mais des bonnes surprises car c'était des témoignages très attachants et très émouvants pour moi, et surtout pour mes lecteurs aussi, d'après les lettres qu'ils m'ont envoyé depuis."
J. M. : "Anne, pourquoi, selon vous, le bonheur est-il si difficilement accessible pour tant de personnes."
A. G. : "Eh bien, peut-être parce qu'on le cherche toujours à l'extérieur. C'est une des grandes causes. Mais aussi parce qu'on s'identifie à un rôle qu'on est venu jouer pour un temps... et c'est aussi une des causes du suicide que j'ai pu voir dans les témoignages que j'ai pu entendre. Toutes ces personnes se sont en effet identifiée au rôle qu'elles devaient jouer sur Terre pendant X années, et ce rôle-là, à un moment donné, est tellement important que, comme un acteur qui peut s'identifier à son rôle, elles perdent le sens de ce qu'elles sont vraiment venues faire et, simplement, du fait d'exister sur Terre qui est déjà un cadeau et important en soi, sans qu'on soit obligé de justifier l'existence par des faits ou des missions extraordinaires. Simplement, le fait d'être là est important pour chacun de nous, pour l'entourage et pour soi-même. Mais cela, on l'a oublié et on a mis effectivement des valeurs sur des éléments extérieurs. Le bonheur, on le cherche toujours à l'extérieur, donc, il y a toujours un désir insatisfait qu'on ne peut jamais combler tant qu'il est extérieur."
J.M : "Selon vous, qu'est-ce qui pousse quelqu'un au suicide ?"
A. G. : "Eh bien, toujours d'après les témoignages que j'ai eu - et ce sont des témoignages de personnes d'âges différents, de cultures différentes, de pays différents, et qui ont été amenées au suicide par des circonstances complètement différentes -, elles m'ont toutes parlé d'une "rupture de contrat" avec leur objectif de vie à partir de la naissance, mais je me suis rendue compte, dans et à travers leurs témoignages, que le fait qu'elles s'identifiaient au rôle était un des points importants.... et qu'elles s'identifiaient aussi à ce qu'on attendait d'elles, au regard des autres, c'est-à-dire à des critères qui n'étaient pas des critères de vie, des critères qui pouvaient très bien changer d'une époque à une autre, mais qui leur paraissaient tellement importants qu'elles n'arrivaient plus à sortir de l'impasse dans laquelle elles pensaient être. Donc, c'était le regard qu'elles posaient sur l'événement qu'elles vivaient qui faisait toute la différence. C'est-à-dire qu'à un moment donné, quelles que soient les circonstances, elles étaient dans une espèce de prison où elles ne voyaient plus d'issue et, de ce fait, elles avaient la sensation d'être acculées au dernier acte, c'est-à-dire qu'elles préféraient sortir de la vie que de vivre leur vie, parce que c'était moins douloureux que de vivre l'épreuve qu'elles étaient venues passer... ou qu'apparemment, elles pensaient devoir passer car, en fait, elles se sont toutes aperçues que le fait de se suicider n'avaient rien résolu en tuant leur corps physique et que le problème ne se situait pas là. Donc, le suicide n'avait pas résolu leur problème et celui-ci continuait comme avant l'acte du suicide. Cela a été une des grandes leçons de leur mort... et c'est pourquoi elles m'ont demandé de dire, à ceux qui restent, que la vie est sacrée et que, quelle que soit la façon dont nous sommes mort, il est important de concevoir ce côté sacré de la vie, et de savoir qu'il y a toujours une solution, mais qu'au moment où l'on est pris dans l'étau, on ne la voit pas."
J. M. : "Je me rappelle la phrase d'une amie qui avait pour but de me supporter dans une période extrêmement difficile de ma vie, et cette personne était passée elle-même par des problèmes très difficiles. Or, elle m'avait dit tout simplement : "Il te reste ta vie !"
A. G. : "C'est en effet une belle phrase ! Et la vie, c'est un cadeau !! Seulement, on s'en aperçoit quelques fois qu'au moment où l'on va quitter la Terre, qu'on meurt de mort naturelle, par accident ou par le suicide. C'est à ce moment là que, tout d'un coup, on se rend compte que le corps physique et l'expérience sur Terre, c'est un cadeau. Mais quelques fois, il faut en arriver là pour s'en apercevoir, alors que ce serait bien de ne pas en arriver à des extrémités telles que celles-là et de s'en apercevoir avant. Ce serait tellement plus joyeux ! En fait, ce livre et ces témoignages sont un hymne à la vie pour moi, parce que tous ces êtres-là étaient remplies d'une autre lumière par la suite."
J. M. : "Qu'est-ce que vous auriez à dire à ceux qui veulent échapper à leur destin ?"
A. G. : "Tout simplement qu'on n'échappe pas à l'école de la Terre. C'est une loi cosmique qui fait que ce qu'on a régler, on finit toujours par devoir le régler. Ce n'est pas une condamnation mais une loi qui défie toutes les autres lois, parce qu'on récolte ce qu'on a semé. Comme tous ces témoignages me l'ont démontré, pour toutes ces personnes-là, le bout qui leur manquait, elles devaient le finir, et pas forcément dans des circonstances plus agréables que celles auxquelles elles étaient confrontées avant leur suicide. Donc, est-ce que cela vaut le coup de faire deux fois en un ? Bon, peut-être que lorsqu'on est mal, on se dit après tout qu'on préfère le faire en deux fois, mais c'est vrai qu'on n'y échappe pas de toute façon, et que le mal-être dans lequel on est continue.
Par exemple, je cite souvent le cas du premier témoignage (bien que tous les témoignages sont les mêmes à ce point de vue là) : cet homme qui était militaire pendant la guerre du Vietnam, a fait ce que beaucoup d'autres personnes peuvent faire pendant une guerre, c'est-à-dire qu'il a tué, violé, détruit des villages, ceci parce que l'armée était sa seule famille, donc il obéissait à des ordres et était dédouané de prendre des responsabilités. Puis, ce fut la fin de la guerre et il est rentré chez lui aux Etats-Unis, mais c'est là que le cauchemar a commencé : dès qu'il rencontrait des personnes, celles-ci prenaient soudain le visage des enfants, des femmes ou des hommes vietnamiens qu'il avait tué, torturé, violé. Donc, petit à petit, c'est devenu son cauchemar. Il est donc allé à l'hôpital militaire mais les médicaments ne suffisaient pas. Alors, à un moment donné, n'ayant aucune croyance, aucun espoir ni aucune famille, il s'est tiré une balle dans la tête.
Mais lorsqu'il est arrivé de l'autre côté, il a continué à voir les mêmes visages, parce que, comme je le disais, ce n'est pas une question physique. Donc, tout ce qui le hantait dans sa vie physique continuait à le hanter dans l'au-delà... ou plutôt dans son au-delà, car ce sont des plans intermédiaires. Il continuait donc à voir les visages de ces personnes qui souffraient. Mais, à un moment donné, ce qui l'a sorti de ce cauchemar, c'est qu'au lieu de demander que ça s'arrête pour lui, il a demandé que ça s'arrête pour ces personnes-là... et c'est à ce moment-là qu'une lumière a commencé à se faire et qu'autre chose a pu enfin se passer pour lui. Il a commencé à rencontrer des êtres de lumière qui l'ont guidé sur ces plans et il a pu voir avec eux le bout de vie qui lui manquait.
Il s'est donc réincarné dans un jeune enfant qui voulait être pompier et qui a fini par le devenir ; il fut un jeune pompier qui était dans les tours du WTC à New-York. Durant sa courte vie de service, il a sauvé pratiquement autant de vie qu'il en avait tué et, à un moment donné, il a refusé d'obéir à un ordre de son chef qui lui disait de ne pas monter dans la tour, et il a sauvé une dernière personne qui était une femme... vietnamienne ! A ce moment-là, elle fut sauvée mais lui est mort, et il savait que c'était fini... du moins, ce fut comme un éclair car il ne se souvenait pas de sa vie précédente, mais l'éclair qu'il a eu lui faisait sentir que le bout de vie qui lui manquait était accompli."
J. M. : "Il y a des personnes qu'on appelle "suicidaires". Malgré l'accompagnement, les traitements, tout ce qui peut exister comme support, comment ces gens-là peuvent-ils s'en sortir ?"
A. G. : "C'est vrai qu'on a l'impression d'être impuissant. Et justement, à un moment donné, je pensais avoir fini le livre mais j'ai été rappelée une dernière fois hors de mon corps et j'ai rencontré des êtres plus nombreux qui m'ont demandé de dire aux personnes qui restent sur la Terre de ne pas se culpabiliser parce que, effectivement, à un moment donné, ce qu'elles peuvent dire ou faire pour aider des personnes suicidaires ne peut pas les aider, parce qu'elles sont enfermées dans leur histoire et qu'elles ne voient rien d'autre de ce qui se passe autour d'elles, même plus les gens qu'elles aiment, ceci parce qu'elles ne perçoivent plus rien d'autre que la problématique dans laquelle elles sont. Et ces êtres-là m'ont demandé de bien dire aux personnes qui restent de ne pas penser qu'elles auraient pu faire quelque chose à ce moment-là, parce que cela ne tient qu'à eux (les suicidés), et c'est difficile, quand la personne est complètement partie vers cela, de savoir quel va être le déclic, car il peut y en avoir plusieurs : un mot, une parole, etc...
J. M. : "Je me souviens d'avoir entendu l'histoire d'une fille qui avait fait plusieurs tentatives de suicide et, à la suite d'une grève de la faim de plusieurs jours à l'hôpital, son père lui avait dit : "Tu sais, quand tu vas arriver en haut et que la porte de l'ascenseur va s'ouvrir, tu vas avoir les mêmes valises." Alors, elle lui a répondu : "Ok papa, j'ai compris. J'ai faim !" Et elle a arrêté sa grève de la faim.
A. G. : "Oui... c'est ce que je disais : de toute façon, elle ne se débarrassera pas de son histoire. J'ai eu des témoignages de personnes qui ont lu le livre et qui m'ont dit "C'est fini, je ne me suiciderai pas." Mais j'ai eu également le témoignage d'une personne très en colère qui me disait :"Vous vous rendez compte de ce que vous dites, c'est honteux de dire cela, ça ne peut pas être vrai. Ma mère s'est suicidée, mon frère s'est suicidé, mon cousin s'est suicidé, et moi-même j'ai fait trente tentatives de suicide"... Alors, évidemment, j'ai compris que cette personne pouvait être en colère parce que cela voulait dire qu'il n'y a pas de porte de sortie et pour elle, c'était dur à entendre. Bon, par la suite, une fois qu'elle m'a entendu, elle s'est apaisée mais sur le moment, c'était une révolte, ça ne pouvait pas être vrai parce que, pour elle, le suicide était la porte de sortie de son histoire, même si c'était faux."
J. M. : "Il y a vraiment cette conviction profonde chez beaucoup d'êtres que c'est la seule issue !?"
A. G. : "Mais oui ! Et je pense que ces témoignages qu'on m'a demandé de rapporter dans ce livre ont été voulu aussi pour cette raison, pour aider tous ceux qui peuvent l'être à ne pas se suicider, à ne pas faire cette rupture de contrat et à savoir que les mauvais moments ont une durée limitée dans le temps. Il y a deux cas de deux jeunes personnes dans le livre qui, après leur suicide, voient défiler la vie qu'elles auraient eu si il n'y avait pas eu de suicide, et c'est là, en fait, qu'est leur propre tourment qui se réveille, parce qu'il y a alors la culpabilité et elles s'aperçoivent en même temps comment, par leur suicide, elles ont influencé la vie des personnes autour d'elles ; donc, comment les liens karmiques ont pu être influencés par leur propre geste et que ce qui aurait pu se passer ou ce qu'elles auraient pu comprendre dans leur vie sur Terre si elles avaient pris un peu plus de temps au lieu de s'identifier à leur histoire. Et c'est vrai que pour ces deux jeunes personnes, cela a été un moment douloureux parce qu'elles ont constaté que ça aurait pu être autrement."
J. M. : "On dit parfois qu'on vient sur Terre pour expérimenter le libre-arbitre. Donc, ce choix-là, cette rupture de contrat, vous le considérez quand même comme un mauvais choix ?"
A. G. : "Eh bien, je ne le considère même pas comme un choix parce qu'au départ, le libre-arbitre, on en parle beaucoup sans trop savoir ce que c'est, en fait. J'ai suivi des personnes qui allaient s'incarner et qui préparaient le plan de leur futur incarnation, et pour moi, le choix se situe à ce niveau-là car la personne qui va s'incarner sait les grands moments de sa vie et elle dit oui. C'est comme un enfant qui, à un moment donné, se dit : "Ok, je vais en classe, je fais cette année-là, je vais passer la suivante"... puis, d'un coup, il refuse de continuer à étudier et il redouble. Le suicide, c'est un peu cela, avec certes des circonstances plus dramatiques ; on va changer de corps mais on va pas changer d'histoire. On s'incarne parce qu'on a des choses à apporter à la planète, on a des relations à terminer, d'autres qu'on voudrait nouer, des histoires à conclure ou à continuer... mais si ce programme-là qu'on s'est donné ne se fait pas, il faudra bien qu'à un moment donné il se fasse. Donc, ce n'est pas une punition, ce n'est même pas un bon ou un mauvais choix. Tout ce que j'ai pu percevoir, c'est que le bout qu'il manquait, il faut le faire quand même. Par exemple, il y a un vieil homme en maison de retraite qui, à un moment donné, se sentait inutile et ne voulait pas être un poids pour les autres, alors il s'est suicidé. Puis il s'est réincarné dans une petite fille qui est morte à un an et demi d'une leucémie. Ceci parce qu'il manquait ce petit bout. Il ne lui manquait pas beaucoup, il était prêt de finir sa vie, mais il s'est suicidé parce qu'il ne voulait pas dépendre des autres, alors il a dû vivre cette dépendance parce qu'il s'est aperçu que le bout qui lui manquait, c'était ce lâcher prise qu'il ne voulait pas faire, ce moment de dépendance qu'il devait vivre.
Alors, bien entendu, ce n'est pas une histoire de jugement mais tout ce qui se passe, chaque instant est important. C'est pourquoi, quand on parle d'euthanasie, je ne donne jamais d'avis là-dessus car on ne sait pas ce qui peut se passer, mais ce que je sais, c'est qu'à un moment donné, la personne peut tout d'un coup réaliser toute sa vie dans les dernières secondes avant sa mort. Alors, on ne sait pas quand cela va se passer mais on risque d'interrompre quelque chose d'important."
J. M. : "On est dans une période dans laquelle on a l'impression que le temps s'accélère, où le taux vibratoire s'élève, une période de transformation profonde pour tous les êtres. Est-ce que c'est une des causes du nombre grandissant des suicides ?"
A. G. : "Certainement, parce que je crois que la planète est en train de passer à une autre dimension et, dans ce passage, il y a des personnes qui sont bousculées par cette accélération, cet état vibratoire, et qui n'arrivent pas à se mettre dans l'axe vibratoire qui pourrait leur permettre de continuer la route. Mais, quand même, je pense qu'on est aussi tous responsables des personnes qui se suicident, comme de tout le reste d'ailleurs, parce que je me dis que par le champ des égrégores (formes-pensées), ou les champs morphogénétiques, quand des personnes un peu plus solides que celles qui veulent se suicider baissent les bras, renient leurs aspirations, perdent leurs rêves d'enfant, renoncent à leur histoire, ce sont autant de suicides et, en même temps, autour de nous, il faut savoir que lorsqu'on abdique, il y a une énergie qui se crée et qui peut très bien permettre un acte de suicide à l'autre bout de la planète même si on ne connaît pas la personne. En ce sens, je me dis qu'on est tous responsables de notre histoire et de l'histoire planétaire. Cela ne veut pas dire qu'on soit coupable, ce n'est pas une question de bien ou de mal."
J. M. : "Donc, malgré cette fatalité de scénarios qui se vivent chaque jour, on sent qu'il y a quand même une grande intelligence, une belle mécanique derrière tout cela."
A. G. : "On a choisit un parcours ! Quelqu'un m'a dit un jour : "Vous ne croyez pas que la vie pourrait ressembler à un jeu de l'oie ?" Effectivement, il a raison parce qu'on tombe dans des cases et, quelques fois, on retourne à la case départ, parfois on reste dans le puit, d'autres fois en prison, mais c'est la vie et il y a toujours un bout, il y a toujours l'arrivée... mais il faut savoir être bon joueur et accepter de tomber dans ces cases-là en se disant : Ok, c'est ma vie et elle a quelque chose d'unique, ce n'est pas la seule mais elle est précieuse et elle vaut le coup d'être vécue, de toute façon !"
"La rupture de contrat" - Anne Givaudan - Editions SOIS

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