Eden - Saga : l'Adam de Sumer (1)

L'histoire de la création de l'humain selon les légendes et les écris sumériens, Eden Saga nous livre ici un travail superbe, aidé par celui d'Anton Parks et les célèbres Chroniques de Girkù (ed J'AI LU), ou nous apprenons les origines de l'homme, du jardin d'Eden, du mythe d'Adam et Eve, du pourquoi de la fameuse cote d'Adam qui servi à fabriquer Eve et prouve ainsi des manipulations génétiques extra-terrestres...et tout ceci se retrouve dans la Bible mais aussi dans la littérature védique de l'Inde, la mythologie  grecque... en voici le 1 er chapitre et il y en aura d'autres sur ce blog. C.R.




Sceau sumérien représentant les Anunnaki.



"Les tablettes décrivent les Anunnaki comme une race reptilienne extraterrestre qui s’est croisée avec des êtres humains pour créer des lignées hybrides ou des lignées de dieux, puisqu’ils ont été perçus ainsi. L'écrivain et chercheur français, Anton Parks, a fait un excellent travail dans ce domaine ces dernières années, surtout avec ses traductions de termes sumériens. Il dit que le nom sumérien pour la race reptilienne était Gina'abul : Décomposé en syllabes sumériennes, nous obtenons GINA (réel, vrai), AB contraction d’ABBA ancêtre, père) et UL (magnificence, abondance, splendeur), c’est-à-dire "les vrais ancêtres de la magnificence (ou splendeur). Beaucoup plus tard à Sumer, ce terme est devenu un synonyme pour Lézard… La langue sumérienne était unique, elle n’appartient à aucune famille linguistique connue et semblerait être originairement une langue apportée par les dieux reptiliens.

Le chercheur, Anton Parks, qui a fait une étude détaillée de la langue sumérienne et ses significations, fait référence à celle-ci comme Gina'abul-Sumérien / Reptilien-Sumérien. Il y avait autrefois une société très avancée globale avec une langue. Anton Parks dit avoir découvert un système syllabique unique Sumérien-Assyrien-Babylonien duquel proviennent des mots clés dans une longue liste de langues anciennes, y compris l’égyptien, le chinois, l’arabe, l’hébreu, grec ancien, Hopi, latin, hindi et les langues nous appelons germaniques. "

 


David Icke, "Human Race get off your Knees", 2010

L'Adam de Sumer


Char sumérien, fresque. Premier plan : statue d'Apollon, Rhodes




L'encyclopédie assyrienne est une mine d'informations sur la genèse du monde et la création de l'homme selon Sumer. Pour les servir, les dieux Anounna ont créé une espèce inférieure. Nous.

Les Anounna du Ki avaient un cruel besoin de main d'oeuvre pour terraformerCe mot vient de la SF et signifie : "transformer une planète sauvage pour la rendre semblable à la Terre" cette planète, une de leur récente conquête, dont ils avaient la jouissance en toute propriété au terme d'un accord avec une sorte de guilde intergalactique. (source)Anton Parks, Chroniques du Girku D'abord ils ont voulu domestiquer l'Homo erectus ou un autre humanoïde du même acabit. Mais ça posait plusieurs problèmes. D’un côté, il était trop intelligent pour devenir une bête de somme et trop sauvage pour être docile. D’un autre côté, il n’était pas vraiment fait pour la tâche.
Art sumérien. Un lulu   assis. Notez l'écriture cunéïforme 

sur la robe du lulu. Il fallait changer son corps et son cerveau pour qu’il pût comprendre le langage et les ordres. Enfin, vu l’urgence et l'ampleur des travaux, pas question d’attendre une lente domestication. Qu'importe ? Il y avait toute une brochette de généticiens brillants chez les Dieux. Leur patron, un certain Mardouk, prit une décision : "Je créerai un Primitif inférieur, il s’appellera Adam, Homme. Je créerai un travailleur primitif, sa tâche sera de servir les dieux afin qu’ils soient plus à leur aise," et il confia cette tâche à son meilleur généticien, Ea ou Enki.
Un messager s'en alla trouver le dieu Enki endormi. Il l'avisa que Mardouk avait décidé de former un Adam et que Enki devait se mettre au travail. Oui, mais Enki avait déjà commencé le travail en cachette, tant son hobby pour la génétique le titillait. "Cette créature dont vous avez prononcé le nom - elle existe déjà ! répondit Enki, Apposez sur elle l’image des dieux." Les Annunakis ne créèrent pas l’homme à partir de rien. Ils prirent une créature existante et la manipulèrent pour "y apposer l’image des dieux".
Dieu 

ailé AnnunakiQuel est ce mystérieux ingrédient qui transforme l'animal en dieu ? Probablement le génome divin mêlé à celui d'un anthropoïde.

La mythologie grecque nous l'explique ainsi : tandis que le titan Prométhée façonne un homme semblable à lui dans l'argile, la déesse Athéna, fille de Zeus, a pitié de cette créature éphémère et lui fait don du feu sacré, une âme divine, qui fait de lui un être spirituel, bien qu'il soit pétri dans la matière la plus terrestre, l'argile. Mais revenons à Sumer. Après six tentatives inadéquates, dans lesquelles on reconnaîtra Homo faber ou Neandertal, Enki a réussi l’homme parfait nommé Adapa, Adam ou Homo sapiens.
Annunaki niquant une
Grâce à ce produit final, les Anounnakis sont génétiquement compatibles avec les filles de l’homme. Ils peuvent les épouser et avoir des enfants avec elles. Mais cette compatibilité n’aurait pu exister si l’homme n’avait été développé à partir de la même "graine de vie" que les Dieux. Dans la tradition sumérienne, l'Homo sapiens a été créé par le "mélange du sang d’un dieu et de l’argile terrestre." Le Travailleur primitif est un Lulu, "celui qui a été mélangé". Le mot Adam signifie "celui de la Terre ", "fait de terre rouge foncée" et "fait de sang".


Pour Anton Parks, le sumérien À-DAM signifie "animaux". Selon les tablettes de Kharsag, nos créateurs, les Anounna, sont différents du reste du monde. Les "autres" sont des humains à l'allure animale.  "A Kharsag, là où le ciel et la terre se rencontrent, l'Assemblée Céleste, les Grands fils d'An les nombreux êtres sages sont descendus. Les humains n'avaient pas encore appris comment manger et comment dormir, ils n'avaient pas appris à faire des vêtements ou des demeures permanentes. L'humanité rampait à quatre pattes dans ses tanières. Elle mangeait de l'herbe avec sa bouche comme les moutons. Elle buvait l'eau pluviale des ruisseaux.…" (source)Tablette de Kharsag n°2, traduction de Don Moore




Statuette sumérienne, 3e   millénaire av. EC. (Ere Commune)
La Bible reprend l'histoire sans y comprendre grand'chose. Certains anges ont couché avec des humaines. Alors d'autres anges ont fait les gros yeux, et les chefs des anges, ou Elohim, ont décidé que les anges qui avaient couché avec nos femmes seraient déchus. Tiens donc ? Comme si les Dieux avaient créé nos femmes pour autre chose que pour jouer avec ! La pudibonderie hébraïque a fait la différence, tandis que les Grecs, de leur côté, ont bien compris le fond du problème, d'où un Zeus fornicateur et pervers.

Quant au Coran, il est on ne peut plus explicite sur la question. On ne citera en référence que cet unique verset : "wastanaâtouka linafsi" qui signifie littéralement : "Et je t'ai fabriqué pour moi" (Coran, Taha 41) Littéralement, que peut donc signifier cette phrase sinon que ce Dieu a fabriqué l'homme pour son service et son bon plaisir ? Certes l'interprétation actuelle de l'Islam ne va pas dans ce sens, mais on peut se demander pourquoi. La loi d'oubli, ici encore, a fait son oeuvre.
Carnaval dans le Chnord chez les Chtis Biloutes avec des chgéants en chcarton

Toutefois, la passionnante hypothèse de Hörbiger, celles des lunes qui s'écrasent sur la terre, après avoir occasionné des périodes de gigantisme, nous amène à considérer notre création sous un autre angle, plus favorable aux dieux géants. Il se pourrait qu'ils nous aient créé pour prendre la relève après eux. Au terme d'une civilisation planétaire qui dura cent cinquante mille ans, les géants se savaient condamnés par l'augmentation prochaine de la pesanteur qui allait devenir insupportable pour leurs grands corps.

Ils ont donc créé des sortes de schtroumpfs mieux adaptés aux nouvelles normes gravitationnelles. Quoi qu'il en soit, ceux qui nous ont créés étaient bien des géants, des Homo sapiens gigantibus qui depuis ont disparu de la surface de la terre.

L'histoire commence à Sumer



Ici les Anounna ont une apparence presque humaine, à part les yeux énormes. Sont-ce des lunettes ?Une fois encore, si l'on fait un tour d'horizon des différentes traditions sacrées, le parallélisme est éloquent : Grecque, Hébraïque, Romaine, Egyptienne, Celte, Nordique, Dogon, Islamique, la plupart des traditions connues recoupent la version de Sumer. Elles racontent peu ou prou la même histoire, mais seule la version de Sumer est claire et complète. Il y a aussi en Amérique, en Australie, en Asie, d'autres traditions qui puisent à la même source que Sumer, celle de la grande civilisation prédiluvienne.
Mais pour l'origine de l'Adam, Sumer est le candidat n °1. Depuis longtemps, les antiquairesAncien nom des archéologues avaient lu la Bible  et savaient donc que l'histoire commence à Sumer, car tout est vrai dans la Bible. Dans la plaine fertile entre le Tigre et l'Euphrate, ces deux fleuves bénis des dieux, une humanité d'esclaves a fleuri, la nôtre. L'humanité supérieure qui nous a fait pour son service s'était installée dans la plaine d'Edin, nom sumérien de la Mésopotamie. Edin, qui a donné l'Eden. Ce site aurait pu s'appeler Adam Saga, c'est à dire ADN Saga.




Un Anounnaki, du fameux   Peuple serpent. Nos créateurs ne nous ressemblent pas tant que ça,   dirait-on.À peine créé, l'Adam rend grâces à Enki et se met à vénérer les dieux. Le mot communément traduit par "vénérer" était en fait avod signifiant travailler. Le LuluLe travailleur "fait de sang" de Sumer ne vénérait pas son dieu, il travaillait pour lui. Là aussi, on voit comment une religion peut s'établir sur une erreur de traduction. "Lorsque l’humanité fut créée, les hommes ne savaient pas manger le pain, ils ne connaissaient pas le port du vêtement, ils mangeaient des plantes avec leur bouche comme des moutons et buvaient l’eau des fossés."

Le géant Gilgamesh,   premier roi du monde, étouffe d'un bras puissant le roi des animauxUn tel animal humain est également décrit dans l'épopée de Gilgamesh : "Des poils touffus recouvrent tout son corps, ses cheveux sont semblables à ceux d’une femme... il ne connaît ni gens, ni terres, il côtoie les animaux sauvages aux points d’eau." Plus loin, un chasseur divin raconte sa rencontre avec un homme singe, le géant Enkidu, l'ami de Gilgamesh : "Il remplissait les fosses que j’avais creusées, détruisait les pièges que j’avais posés; les bêtes et les créatures de la steppe, il les a fait glisser de mes mains."












Ce qui montre son bon sens. Sur de nombreux sceaux cylindriques sumériens, on peut voir l’image de l’homme singe ébouriffé parmi ses amis, les animaux. Un autre Anounnaki féru de génétique, un certain Bélus,Faut-il y voir l'original du dieu Bel ou Bélénos des Gaulois ? tenta lui aussi de créer un hybride apte aux travaux divins. Bélus fit apparaître divers "êtres hideux produits par un principe à double forme. Il y avait, en résumé, des créatures avec les membres de toutes les espèces d’animaux dont il reste des dessins préservés dans le temple de Bélus à Babylone." (source)Bésorus ou Bésore ? Peut-être une déformation de Bérose ? 

Fresque sumérienne, chimères, essais malheureux du généticien Bélus.





Produits de manips génétiques, ces êtres hybrides sortent tout droit des laboratoires biologiques anounnakis. Des essais sans suite, vite abandonnés. N'empêche qu'ils les ont faits, aucune barrière déontologique, éthique ou morale ne semblait les retenir : ils ne l'évoquait même pas. Leurs créatures, pourtant pleines de défauts, montrent plus de retenue sur le chapitre de la génétique humaine.
Pour combien de temps ? D'ici quelques années il sera possible de recréer un Néandertalien à partir de son ADN. Allons-nous pas à pas marcher dans les traces des pseudo-dieux qui nous ont fabriqués ? Et, question subsidiaire, ferons-nous aussi bien qu'ils ont fait ?
Les soi-disant dieux qui nous ont faits étaient des surdoués de l'ADN


source eden-saga

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