Aaron Russo


Aaron Russo est connu aux USA en tant que cinéaste producteur vedette à Holywood, il essaya une carrière politique qu'il abandonna en prenant conscience du système, qu'il refusa après les sollicitations de la famille Rockefeller, qui voulait le faire rentrer dans le clan, alors qu'ils avait tissé des liens amicaux avec l'un d'entre eux, après avoir recueilli 30% des voies aux élections.
Il est une des voix qui dénonça l'imposture du 11/09 (Rockefeller lui avait décrit les suites du 11/09 une année avant les événements);  la main mise de la Banque Fédérale américaine sur le pouvoir. Il dénonce la non-démocratie du système politique régenté par les banquiers, ainsi que la corruption de l'ensembles des dirigeants US sous l'emprise des Rockefellers, et aussi des dirigeants européens, la création  d'un système tentaculaire d'Amérique unifiée USA-Canada-Mexique, à l'image de l'Union Européenne.(voir La nouvelle super-puissance américaine 07/2013 )


Il explique aussi que ce pouvoir agit grâce à la peur, et que nous pouvons lutter en refusant ce système, et qu'ils ont besoin de notre collaboration silencieuse pour continuer. Sans cela c'est l'effondrement des classes moyennes qui nous attends, une pauvreté étendue à toute la planète (voyez la Grèce), mais aussi un projet de diviser par deux la population mondiale (dixit Rockefeller), la vaccination généralisée dans le monde en sera certainement l'une des causes essentielle. Sans doute une des raisons principales de la vaste campagne de vaccination de toute la population africaine par les ONG américaines financées largement par Bill Gates.CR

Voici sa dernière interview  avant son décès en 2007.



Source wikipédia : Il a notamment été le manager de Bette Midler entre 1972 et 1979. Durant sa carrière cinématographique, il a produit des acteurs tels que Eddie Murphy, Dan Aykroyd dans Un Fauteuil Pour Deux (Trading Places), qui deviendra pour le public un des classiques de Noël. Il réunira Nick Nolte, Morgan Freeman et Ralph Macchio dans Teachers. Il a reçu un Grammy, un Tony et un Emmy pour OL' Red Hair is Back en 1978.
Son dernier documentaire, America… From Freedom To Fascism, sorti en 2006, dénonce la politique américaine en matière de taxe fédérale sur le revenu et quant au système bancaire fédéral. Selon lui, la politique américaine depuis la création de la Banque fédérale américaine, conduit à une restriction croissante des droits des citoyens américains, surtout avec la mise en place des nouvelles lois depuis les attentats du 11 septembre 2001 et de la création de la nouvelle carte d'identité.

Très impliqué dans la vie politique américaine, il s'est présenté aux élections du gouverneur du Nevada en 1998, sous les couleurs du Parti républicain, où il a fini deuxième, avec presque 30 % des votes. Membre important du Parti libertarien américain, il a été candidat de ce parti lors des primaires organisées pour l'élection présidentielle de 2004.

En 2007, dans une interview de Alex Jones, il dénonce le CFR, supporte les théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001, et critique la guerre contre le terrorisme, ainsi qu'un « plan de domination mondial des banquiers », (les Rockefeller, etc.).

Il y raconte une discussion tenue entre Nicholas Rockefeller et lui-même, onze mois avant les attentats du 11 septembre 2001, expliquant entre autres les propos tenus par Nick Rockefeller : comment « un évènement allait se produire […] et comment à partir de cet évènement nous (les États-Unis) allions envahir l'Afghanistan, construire des pipelines pour amener le pétrole de la mer Caspienne, que nous allions envahir l'Irak pour prendre le contrôle du pétrole au Moyen-Orient et pouvoir nous implanter là-bas et intégrer cette région dans un nouvel ordre mondial et qu'ensuite nous irions nous occuper de Chavez, au Venezuela ainsi que de l'Iran. Je me rappelle qu'il me disait qu'on verrait des soldats fouiller des grottes à la recherche des responsables, en Afghanistan, au Pakistan et dans toutes ces régions-là. Il y aurait alors une guerre contre le terrorisme où il n'y aurait pas de véritable ennemi. Tout cela ne serait qu'une mystification. Ce serait une façon pour le gouvernement de contrôler les Américains ».

Nick Rockefeller lui aurait aussi affirmé que ses projets pour l'avenir étaient de réduire la population mondiale de moitié et de remplacer la monnaie de papier par des puces sous-cutanées où seraient stockées toutes les informations personnelles de la personne. Tout ceci étant une manière détournée de contrôler ce que Nicholas Rockefeller a désigné comme les « serfs », les « esclaves », en parlant de la population mondiale.
Il évoque aussi l'émancipation des femmes comme étant une duperie. Ce mouvement n'aurait pour finalité rien d'autre que de doubler le nombre de contribuables et de demandeurs d'emploi, mais aussi de réduire l'influence familiale sur chaque enfant, qui finira, par la présence restreinte des parents, par s'attacher plutôt à l'État, de façon indirecte.

Il meurt six mois plus tard d'un cancer de la vessie, après six ans de lutte contre la maladie.
Source wikipédia

La nouvelle super-puissance américaine : par Jacques Attali juillet 2013
Un nouveau discours idéologique et géostratégique est en train d’apparaitre dans les milieux dirigeants politiques, économiques et militaires  américains. Confrontés à la montée de la puissance chinoise, qui sera bientôt, inéluctablement, la première puissance économique du monde, en termes de production, l’on commence à entendre un nouveau discours à Washington: La première puissance du monde, pour au moins les deux décennies à venir, ne sera pas la Chine, mais l’ensemble formé par les Etats-Unis, le Canada, et le Mexique.

Cet ensemble, disent-ils, doit être considéré comme un pays unique : l’intégration économique, commencée avec l’instauration de l’ALENA, est aujourd’hui très avancée. Les trois pays ont la même idéologie, les mêmes intérêts en matière de défense, et coopèrent étroitement sur tous les plans, économiques culturels et militaires. Le Mexique est devenu un pays moderne, où l’état de droit est respecté, comme dans les deux autres pays. Mexique et Canada s’américanisent à grande vitesse et l’intégration économique et culturelle est considérable

Ce scénario n’est pas invraisemblable. Cet ensemble est en effet la première puissance du monde  et le sera longtemps : une population totale actuelle de 470 millions d’habitants, qui sera de 540 millions en 2030. Un PIB total de 19.000 milliards de dollars, qui sera d’au moins 25.000 milliards dès 2018. Dans les deux cas, bien supérieur à celui de la Chine.

Les Etats-Unis, qui se voient naturellement en leader de cette coalition, retarderaient ainsi, comme l’Empire romain, le moment de son déclin. Toute la stratégie américaine va donc se concentrer sur la réussite de cette intégration économique, pour la compléter par une intégration politique, en employant pour cela les grands moyens.  Et cette intégration pourrait être plus facile à réussir que celle que tentent les membres de l’Union Européenne : Les Américains ne sont que trois, avec une puissance dominante, qui peut tenter de dicter sa loi.


Cela aurait des conséquences géostratégiques considérables. Une domination de l’Amérique du Nord sur l’Amérique du Sud, et sur l’Europe, qui ne mesure pas, par exemple, les conséquences d’une telle union sur la négociation commerciale qui commence avec les seuls Etats-Unis.

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