Dossier : Vaccination où est la liberté ?
Vaccins: l'union européenne veut surtout faire du chiffre!
Loin de s'émouvoir des milliers de cas d'effets
secondaires graves qui surviennent chaque année dans l'Union Européenne
suite aux vaccinations incessantes
Cette instance NON ELUE, et financée avec l'argent des contribuables européens, promeut donc le gaspillage de ces mêmes deniers publics avec l'achat de vaccins dangereux et peu recommandables contre les HPV, comme en attestent des dizaines de publications scientifiques rigoureuses (la publication de Shaw et Tomljenovic fin décembre 2011 dans Annals of Medicine constitue une méta-analyse, passant ainsi en revue plus d'une centaine d'études scientifiques mais, par idéologie, de telles instances se refusent bien sûr à les prendre en compte!)
Loin
de s'émouvoir des milliers de cas d'effets secondaires graves qui
surviennent chaque année dans l'Union
Européenne suite aux vaccinations incessantes infligées aux
citoyens et qui impactent évidemment sévèrement leur qualité de vie et
leur capacité de travail, l'U.E veut en réalité VACCINER UN
MAXIMUM DE GENS CONTRE UN MAXIMUM DE MALADIES, point barre!
Et peu importe si cela fait plus de tort que de bien, ces technocrates-là ne veulent surtout pas le savoir!
D'ailleurs c'est clair, le sujet des risques graves des
vaccins n'est jamais évoqué, ni en fréquence, ni en gravité dans leurs
meetings dispendieux.
Pour la Commission, tel qu'on peut le voir sur son site, "certains vaccins demeurent sous-estimés et sous-utilisés": ah bon, lesquels? On croûle déjà
sous les vaccins, à fortiori les petits nourrissons à peine sortis du ventre de leur mère...
La Commission écrit encore sur son site ce à quoi elle contribue au niveau européen:
Au niveau européen
Afin
d'aider les pays de l'UE à maintenir ou à augmenter les taux de
vaccination contre les maladies pouvant être évitées par ce moyen,
la Commission européenne s'emploie à:
favoriser l'introduction des vaccins contre le cancer du col de l’utérus;
promouvoir la vaccination contre la grippe saisonnière chez les personnes risquant de tomber gravement malades si elles
attrapent la grippe («groupes à risque»).
La
recommandation du Conseil du 22 décembre 2009 exhorte les États membres à
s'engager, d'ici l'hiver 2014/2015, à vacciner chaque année
75 % des groupes à risque contre la grippe saisonnière;
encourager les pays de l'UE à faire en
sorte que les principaux vaccins contre les maladies infantiles soient administrés au plus grand nombre d'enfants possible.
La
Commission européenne a également aidé les États membres à élaborer une
stratégie de vaccination contre une pandémie de grippe
H1N1(souvent appelée «grippe porcine»).
Cette instance NON ELUE, et financée avec l'argent des contribuables européens, promeut donc le gaspillage de ces mêmes deniers publics avec l'achat de vaccins dangereux et peu recommandables contre les HPV, comme en attestent des dizaines de publications scientifiques rigoureuses (la publication de Shaw et Tomljenovic fin décembre 2011 dans Annals of Medicine constitue une méta-analyse, passant ainsi en revue plus d'une centaine d'études scientifiques mais, par idéologie, de telles instances se refusent bien sûr à les prendre en compte!)
Pour la
grippe, c'est amusant de voir qu'on évoque cette recommandation du
Conseil européen de fin 2009 exhortant les Etats membres
à vacciner au moins 75% des individus dits "à risque", alors qu'il
se trouve justement que l'actuel président permanent du Conseil
européen, Mr Herman Van Rompuy, ne s'était pas fait
vacciner contre la grippe selon son dossier médical électronique
consulté par des médecins néerlandophones cette même année, bien qu'il
figurait déjà à son âge parmi les gens dits "à
risque" (= rappelé dans l'émission Mise au Point de la RTBF le 1er novembre 2009). C'est là bien la preuve que ces gens ne s'appliquent certainement pas à eux-mêmes les
recommandations hasardeuses qu'ils voudraient imposer au monde entier!
Pour les
enfants, c'est pareil, alors que leur état de santé ne cesse globalement
de se dégrader avec une explosion des maladies
chroniques, neurologiques, des cancers, sans parler de
l'auto-immunité et des allergies, l'U.E encourage aveuglément et sans
aucune étude à long terme, à les vacciner A TOUT PRIX contre un
maximum de maladies... là encore, faire du chiffre, bien plus que promouvoir la santé!
Cette
véritable obnubilation vaccinale pathologique devient de plus en plus
patente aux yeux des parents qui comprennent qu'il
s'agit en fait de vacciner tout ce qui bouge, sans plus être du
tout dans le champ de la Science, hélas. La vaccination y a-t-elle en
fait jamais été quand on songe aux ficelles
employées pour faire accepter à tout prix les vaccins, comme par
exemple le recours systématique à de faux placebos dans les essais
cliniques de vaccins, ce qui biaise donc en fait toute
l'évaluation possible de leurs effets secondaires dans un esprit
par définition anti-scientifique et obscurantiste?
Et il faut dire que ça va loin, leurs stratégies de vaccination. Ainsi, pour poursuivre la lubie d'élimination de la rougeole et la
rubéole en 2015 (lubie de l'OMS sans cesse reportée d'année en année), ça va tourner au véritable HARCELEMENT:
- Réfléchir à l'obligation vaccinale, par exemple des personnels de santé, comme en Finlande.
- Instaurer un contrôle du carnet vaccinal et une obligation pour la scolarisation des enfants.
- Profiter des voyages pour vacciner un maximum de gens.
- Appliquer la stratégie "vacciner les enfants ET les parents" et donc les parents se trouveront donc harcelés aussi du même
coup.
- Faire signer aux patients des décharges de responsabilité au cas où ils attraperaient la rougeole s'ils n'ont pas suivi la
recommandation vaccinale du médecin.
- Recommandations internationales de l'OMS et notamment en matière de voyages.
Avec tout
ça, on pourrait croire qu'il y a véritablement urgence à éliminer ou
éradiquer purement et simplement ces maladies. Il n'en
est rien. La rubéole ne constitue aucunement une urgence de santé
publique. Quant à la rougeole, ce virus a mis des milliers d'années à
co-évoluer avec l'homme, en lui apportant certains
avantages épidémiologiquement constatables (moindre risque
d'asthme, d'allergies, etc).
Vouloir à
tout prix éradiquer un microbe de la surface de la terre témoigne d'une
attitude scientiste dangereuse, qui est sous-tendue par
l'illusion de pouvoir plier la Nature à ses souhaits, sans même
prendre en considération tous les aspects de la question, et notamment
le fait que la Nature a horreur du vide, et qu'il y a
toutes les chances que ce miasme-là puisse être remplacé par un
autre encore pire!
Mais la
véritable raison de cet acharnement vaccinal détestable, loin d'être un
objectif d'amélioration de la santé publique, répond
en réalité au besoin commercial des firmes pharmaceutiques, qui
ont près de 300 vaccins en attente dans leur pipeline, de libérer de la place dans le calendrier vaccinal actuel déjà surchargé, pour y
introduire plusieurs nouveaux vaccins. Les rajouter encore à
l'heure actuelle serait trop risqué, car les gens et notamment les
parents commenceraient à s'en indigner... trop c'est
trop!
Les enfants
n'auront donc jamais moins de vaccins à subir, un jour ou l'autre, non,
il s'agira toujours d'écouler chez eux tous ces
vaccins incessants et continuellement renouvellés par d'autres,
selon les injonctions de la fausse instance "publique" qu'est l'OMS.
Quant à
donner en exemple l'implication de l'U.E en matière de grippe H1N1,
c'est là vraiment une idée saugrenue... quand on voit ce
que ça a donné, les râleries et pressions de l'U.E sur la Ministre polonaise, qui visiblement, a eu bien raison de ne surtout pas acquérir ces dangereux
vaccins expérimentaux entre autres, générateurs de narcolepsies, puisque finalement, il y a eu moins de décès dus à la grippe dans ce pays qu'ailleurs... cherchez
l'erreur!
Cela est
évidemment pour cela que l'U.E veut éviter à l'avenir que les Européens
puissent opérer la moindre comparaison entre pays
vaccinés et pays non vaccinés, que l'U.E est en faveur de l'achat
groupé de vaccins, qu'elle est aussi favorable à l'expérimentation
humaine sans consentement et que Mme
Testori de la DG Sanco, disait sans la moindre
gêne qu'à l'avenir, on arrivera à ce que ça soit aussi la Commission
(non élue) qui décide arbitrairement des gens à vacciner,
exactement comme ce qui se fait déjà à l'heure actuelle avec les
troupeaux de bétail. On sait donc ce qui nous attend à l'occasion des
futures pandémies tant attendues, si on ne réagit pas
dès maintenant...
Sérieuse Épidémie de Varicelle en Indiana
parmi une population vaccinée
Le Comté de Vigo
en Indiana a enregistré l’une des plus importantes épidémies de
varicelle qu’il n’ait jamais connues avec 92 cas à ce jour.
Parmi ces 92 cas, seulement 3 n’avaient jamais été vaccinés ; 10
enfants n’avaient reçu qu’un vaccin et les
79 autres cas étaient complètement vaccinés.
Il n’y a pas eu de décès. Il
s’agirait du premier cas dans le pays d’une grave épidémie de
varicelle qui s’est produite parmi des enfants qui étaient bien vaccinés
contre la varicelle.
Source: Health Impact
News
Une épidémie d’oreillons touche 97%
d’enfants vaccinés !
Kenny Valenzuela , 2 décembre 2012
Le prestigieux journal médical The New England Journal of Medicine
(367 :1704-1713, 1 Novembre 2012) vient de publier ses conclusions concernant l’épidémie d’oreillons qui s’est produite dans les comtés de New-York City et du New Jersey en
2009.
Le gonflement des glandes salivaires et autres symptômes compatibles avec les oreillons furent observés dans 3.502 cas dont 1648
furent confirmés cliniquement.
Les résultats repris dans le rapport (qu’évoque la vidéo reprise ci-dessous) montrent que 97% des cas testés avaient préalablement été vaccinés contre les oreillons.
Plus accablant encore est le fait que 89% avaient reçu 2
doses du vaccin ROR qui est supposé protéger contre les oreillons.
On avait déjà vu
ça : Epidémie d’oreillons dans une
population hyper vaccinée
Sources: The One Click Group & Vaccinationliberationarmy.com
Les femmes enceintes pressées de se faire
vacciner avec un vaccin non recommandé pendant la grossesse
La
folie vaccinale se poursuit. Le
Royaume-Uni est en train de pousser les femmes enceintes à se faire
vacciner avec un nouveau vaccin contre la coqueluche, alors que la chose
n’est pas recommandée par le
fabricant.
Par Heidi Stevenson, Gaia Health, 09.12.2012
Le Royaume-Uni
engage actuellement une campagne massive pour faire pression sur les
femmes enceintes afin qu’elles se fassent vacciner contre la
coqueluche. Les autorités de santé disent que cette vaccination
permettra d’éviter que les bébés attrapent la coqueluche quand ils
viendront au monde.
Ce que ces gens ne disent pas aux femmes enceintes, c’est que le fabricant du vaccin indique
clairement dans sa notice que ce vaccin n’est pas destiné aux femmes enceintes. (…is not for use in pregnant women)
Voici ce que le Ministère Britannique de la Santé précise à propos du vaccin Repevax et de la grossesse [1]
« Il
faudrait, pour chaque grossesse, offrir la vaccination aux femmes qui
deviennent enceintes au cours du programme de vaccinations
afin de maximiser les taux d’anticorps qu’elles transmettent à leurs
enfants. Il faudrait revacciner les femmes enceintes qui auraient relativement récemment été vaccinées
contre
la coqueluche, le tétanos, la diphtérie et/ou la polio. Les doses
cumulatives peuvent augmenter la probabilité de réactions au site
d’injection, ou de fièvre, mais cela est largement compensé par
les avantages attendus. »
Non seulement, ils se
permettent de conseiller la vaccination au cours de la grossesse mais
ils vont plus loin en conseillant aux femmes enceintes de
se faire revacciner même si elles ont reçu le vaccin dans un passé
récent.
Voici ce que le fabricant du Repevax (Sanofi Pasteur MSD) stipule dans sa notice [2] :
« Dites à votre médecin ou à
l’infirmière si vous et/ou votre fille êtes enceinte(s) ou si vous
allaitez. Précisez éventuellement aussi si vous ou votre
fille auriez l’intention d’avoir un bébé. Votre médecin et/ou
l’infirmière pourront vous conseiller si oui on non la vaccination
aurait lieu d’être retardée. L’utilisation de REPEVAX
n’est pas recommandée pendant la grossesse. »
Le ministère de
la Santé poursuit en affirmant que REPEVAX a été administré aux femmes
enceintes dans d’autres pays et qu’il n’a pas causé de
préjudices. Ils ne précisent cependant pas de quel pays il s’agit ;
ils ne disent pas non plus si des études ont démontré une absence de
préjudice. On pourrait cependant penser que s’il
existait des études démontrant que les vaccins sont sans danger pour
la période de grossesse, (même les plus mauvaises), le fabricant
n’aurait pas fait état de cette mise en garde.
Le REPEVAX de Sanofi Pasteur contient plusieurs antigènes pour quatre maladies différentes [2]
REPEVAX contient un total de neuf antigènes différents, tous injectés en une seule vaccination !
Le REPEVAX
contient de l’aluminium. Les études scientifiques montrent que
l’aluminium peut s’avérer être extrêmement dangereux dans les vaccins,
qu’il est susceptible de provoquer l’autisme, des troubles du
développement et des maladies auto-immunes. [3]
Il contient du
phénoxyéthanol toxique pour les organes. Le Japon limite son usage aux
cosmétiques. L’Union Européenne limite son utilisation à
de faibles expositions en milieu de travail. [4] Le vaccin contient
également du polysorbate 80 susceptible de provoquer des malformations
de l’ovaire, des follicules dégénératifs, des
modifications hormonales, des modifications de l’utérus et du vagin
chez les rats. [5]
Justification ?
Le gouvernement
Britannique pousse les femmes enceintes à se faire vacciner, non pas
avec un mais avec neuf antigènes en une seule injection, et
qui comprend également de l’aluminium connu pour induire des
troubles auto-immuns, du phénoxyéthanol toxique pour les organes, du
polysorbate 80 susceptible de causer des dommages graves à la
fonction reproductrice des femmes. Ils le justifient en disant que
les effets néfastes n’ont pas été démontrés chez les femmes enceintes,
en dépit du manque d’études démontrant cette
prétention.
Combien d’effets
néfastes des vaccins sommes-nous prêts à accepter ? Oui, c’est vrai que
des bébés peuvent mourir de la coqueluche. Mais il
est aussi vrai que le vaccin lui-même a provoqué des coqueluches
plus virulentes. GaiaHealth a montré que ces coqueluches étaient dix fois plus meurtrières que les coqueluches
habituelles.
Il n’est pas seulement possible, mais il est probable que les enfants qui contractent la coqueluche ont, aujourd’hui, dix fois plus de
chances de mourir qu’ils n’avaient avant la vaccination.
Est-il bien
rationnel de suivre pareils conseils du gouvernement face à un tel
manque de preuves d’innocuité et ce, alors qu’il existe de fortes
preuves de dommages si importants ?
Références :
1.Pertussis (whooping cough) immunisation for pregnant women [NHS fact sheet]
Source: Gaia Health
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