La vérité est un pays sans chemin
Il pleut très fort ce matin du 22 déc 2012, depuis plusieurs jours, l'eau tombe en grande quantité sur la campagne, les ruisseaux débordent dans les près, les rivières gonflent, cela fait bien longtemps que de telles précipitations étaient venues laver notre terre.
Je ressent cela comme un grand réconfort, alors que je suis coincé à la maison et que ce temps de pluies me force à rester à l'abri quand j'ai du travail dehors.
Outre le fait que notre terre à besoin d'eau, et que les déficits en pluviométrie depuis plusieurs années sont importants et que nos arbres et nos plantes en ont besoin, je récents ce lavage comme une douche énergétique qui vient nettoyer le marasme ambiant, le défaitisme médiatique qui nous assaille, cet esprit tristounet qui nous promet les pires soucis pour les mois qui viennent, auquel est venu s'ajouter le catastrophisme de fin du monde du 21 déc 2012.
Il faut sortir de là, et aller plus loin, voir que personne ne peut décider à notre place de ce qui va nous arriver, sauf si on se laisse contaminer, et tels des moutons fuir ou suivre la voie toute tracée pour nous par d'autres qui ne sont ni plus intelligents ni plus futés que nous même.
Cela me revois vers un évènement de l'hiver dernier que nous avons tous connus, la pandémie H1N1, les gouvernements mondiaux avaient décidés qu'une pandémie de grippe allait nous décimer et qu'il fallait se faire vacciner absolument afin de ne pas être touché, et même ceux qui ne voulait pas suivre ces injonctions relaillées par les médias étaient culpabilisés, en expliquant qu'ils pouvaient être des porteurs sains du virus et contribuer ainsi à la progression de la pandémie. Ce qu'on nous distillait à longueur de journée sur les ondes était pire que le virus, c'était de la peur, et c'est cela qui était le plus dangereux.
Cependant les français en grande majorité n'ont pas aimés être dirigés dans leur conscience, ils se sont comportés non comme des moutons, mais comme des citoyens libres de leurs choix, certains se sont fait vacciner, mais la grande majorité est restée dans le refus, considérant que son ressenti de non peur était le plus important.
Victoire, il n'y eu pas de pandémie, prouvant ainsi que la vaccination n'était pas indispensable, et que la peur n'avait pas fait son chemin.
Depuis longtemps on sait qu'un virus va se développer que sur une terrain qui lui est favorable.
Que l'on ne se trompe pas, nous avons tous été porteur du virus, il y a eu un mort au Mans, un retraité, voisin de certain de mes amis, et je crois bien qu'il s'était fait vacciné...
La peur rend le terrain favorable, entre autres, les gens faibles physiquement, fatigués, ceux dont le système immunitaire est défaillant ou affaiblis.
La pensée, l'état d'esprit, est très important, c'est un aspect que la médecine tant à ignorer car elle n'a pas d'emprise sur cela, tant qu'il n'a pas été démontré scientifiquement, pas des études rigoureuses.
Pourtant tous les thérapeutes qui vivent au quotidien avec les malades savent que l'état d'esprit du patient est primordial pour sa guérison. Mais cela reste comme un ressenti qui n'a pas d'emprise sur la prise en compte de la thérapie et des traitements proposés.
Ils en est de même pour notre société civile, la peur engendre la peur et la défaite.
La vérité est un pays sans chemin, cette phrase qui me trotte dans la tête ce matin est de K, un sage indien qui vécu en occident au 20 ème siècle. Sa philosophie était très simple, trop sans doute.
Ne vous faites confiance qu'à vous même, les religions, les partis politiques, les groupes, les leaders, ne peuvent vous aider, soyez attentifs à vous même et votre relation à l'autre, observez la nature, soyez en relation d'empathie avec toute forme de vie, humaine, animale, végétale, minérale, respectez la, aimez la.
Quoi de plus simple ?
K savait de quoi il parlait, il avait été éduqué dans la plus haute société anglaise, enlevé très jeune de son Inde natale, il avait été pressenti comme le nouveau Christ sauveur et éduqué pour sauver le monde, il avait été mis à la tête d'une énorme organisation mondiale dans les années 20, son mouvement devait remplacer toutes les religions...A 34 ans il décida de dissoudre ce mouvement et de vivre seul, et de diffuser un seul message :
"« Toute autorité, particulièrement dans le domaine de la pensée, est destructrice, une mauvaise chose. Les leaders détruisent leurs adeptes et les adeptes détruisent les leaders. Vous devez être votre propre enseignant et votre propre disciple. Vous devez mettre en doute tout ce que l'homme a accepté comme valable ou nécessaire. »
Et bien à l'aube de cette nouvelle ère si pleine d'espoir, de renouveau, et sous le défaitisme social ambiant, je crois que le message de K, "du pensez par vous même", me plait assez, rien ne m'empêche d'écouter, d'entendre, ce que disent certain sages spirituels ou politiques éclairés, mais je garde mon libre arbitre, mon libre choix, et mon propre regard sur mon propre avenir, et de ne pas être un mouton...
Je ressent cela comme un grand réconfort, alors que je suis coincé à la maison et que ce temps de pluies me force à rester à l'abri quand j'ai du travail dehors.
Outre le fait que notre terre à besoin d'eau, et que les déficits en pluviométrie depuis plusieurs années sont importants et que nos arbres et nos plantes en ont besoin, je récents ce lavage comme une douche énergétique qui vient nettoyer le marasme ambiant, le défaitisme médiatique qui nous assaille, cet esprit tristounet qui nous promet les pires soucis pour les mois qui viennent, auquel est venu s'ajouter le catastrophisme de fin du monde du 21 déc 2012.
Il faut sortir de là, et aller plus loin, voir que personne ne peut décider à notre place de ce qui va nous arriver, sauf si on se laisse contaminer, et tels des moutons fuir ou suivre la voie toute tracée pour nous par d'autres qui ne sont ni plus intelligents ni plus futés que nous même.
Cela me revois vers un évènement de l'hiver dernier que nous avons tous connus, la pandémie H1N1, les gouvernements mondiaux avaient décidés qu'une pandémie de grippe allait nous décimer et qu'il fallait se faire vacciner absolument afin de ne pas être touché, et même ceux qui ne voulait pas suivre ces injonctions relaillées par les médias étaient culpabilisés, en expliquant qu'ils pouvaient être des porteurs sains du virus et contribuer ainsi à la progression de la pandémie. Ce qu'on nous distillait à longueur de journée sur les ondes était pire que le virus, c'était de la peur, et c'est cela qui était le plus dangereux.
Cependant les français en grande majorité n'ont pas aimés être dirigés dans leur conscience, ils se sont comportés non comme des moutons, mais comme des citoyens libres de leurs choix, certains se sont fait vacciner, mais la grande majorité est restée dans le refus, considérant que son ressenti de non peur était le plus important.
Victoire, il n'y eu pas de pandémie, prouvant ainsi que la vaccination n'était pas indispensable, et que la peur n'avait pas fait son chemin.
Depuis longtemps on sait qu'un virus va se développer que sur une terrain qui lui est favorable.
Que l'on ne se trompe pas, nous avons tous été porteur du virus, il y a eu un mort au Mans, un retraité, voisin de certain de mes amis, et je crois bien qu'il s'était fait vacciné...
La peur rend le terrain favorable, entre autres, les gens faibles physiquement, fatigués, ceux dont le système immunitaire est défaillant ou affaiblis.
La pensée, l'état d'esprit, est très important, c'est un aspect que la médecine tant à ignorer car elle n'a pas d'emprise sur cela, tant qu'il n'a pas été démontré scientifiquement, pas des études rigoureuses.
Pourtant tous les thérapeutes qui vivent au quotidien avec les malades savent que l'état d'esprit du patient est primordial pour sa guérison. Mais cela reste comme un ressenti qui n'a pas d'emprise sur la prise en compte de la thérapie et des traitements proposés.
Ils en est de même pour notre société civile, la peur engendre la peur et la défaite.
La vérité est un pays sans chemin, cette phrase qui me trotte dans la tête ce matin est de K, un sage indien qui vécu en occident au 20 ème siècle. Sa philosophie était très simple, trop sans doute.
Ne vous faites confiance qu'à vous même, les religions, les partis politiques, les groupes, les leaders, ne peuvent vous aider, soyez attentifs à vous même et votre relation à l'autre, observez la nature, soyez en relation d'empathie avec toute forme de vie, humaine, animale, végétale, minérale, respectez la, aimez la.
Quoi de plus simple ?
K savait de quoi il parlait, il avait été éduqué dans la plus haute société anglaise, enlevé très jeune de son Inde natale, il avait été pressenti comme le nouveau Christ sauveur et éduqué pour sauver le monde, il avait été mis à la tête d'une énorme organisation mondiale dans les années 20, son mouvement devait remplacer toutes les religions...A 34 ans il décida de dissoudre ce mouvement et de vivre seul, et de diffuser un seul message :
"« Toute autorité, particulièrement dans le domaine de la pensée, est destructrice, une mauvaise chose. Les leaders détruisent leurs adeptes et les adeptes détruisent les leaders. Vous devez être votre propre enseignant et votre propre disciple. Vous devez mettre en doute tout ce que l'homme a accepté comme valable ou nécessaire. »
Et bien à l'aube de cette nouvelle ère si pleine d'espoir, de renouveau, et sous le défaitisme social ambiant, je crois que le message de K, "du pensez par vous même", me plait assez, rien ne m'empêche d'écouter, d'entendre, ce que disent certain sages spirituels ou politiques éclairés, mais je garde mon libre arbitre, mon libre choix, et mon propre regard sur mon propre avenir, et de ne pas être un mouton...
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