La bonne santé des enfants non vaccinés

"En Suisse, et en Allemagne, la vaccination n'est pas obligatoire" 

  •   1 - En Suisse, la bonne santé des enfants non vaccinés de Françoise Berthoud    Ed Jouvence

  •   2 Vague de cancers dans l'armée italienne, les vaccins incriminés

     

 



  1 - Vidéo : Expérience personnelle d'un pédiatre homéopathe, Françoise Berthoud

La clientèle d’un naturopathe ou d’un pédiatre homéopathe est composée de deux types de familles.
Celles qui, souvent dès la conception de l’enfant ou même avant, ont opté pour une recherche de santé plutôt que pour un recours à la médecine. « Prévenir vaut mieux que guérir » est une attitude indiscutable, dans tous les domaines et quand il s’agit de sa santé et de celle de nos enfants, la démarche est vitale. Le thérapeute est alors un enseignant, qui a souvent vécu et pratiqué lui-même des modifications de son mode de vie, des changements alimentaires ou des jeûnes, ou encore a eu recours à un naturopathe, un ostéopathe ou un acupuncteur. On n’enseigne bien que ce qu’on a expérimenté soi-même.

Un autre groupe de familles sont celles qui sont déçues par la médecine traditionnelle et lassées des difficultés de dialogue avec les pédiatres allopathes, les abus de prescriptions d’antibiotiques ou de médicaments chimiques censés calmer l’enfant. Certains ont remarqué des effets négatifs des vaccinations et viennent car ils ont entendu parler de la possibilité de drainage homéopathique des vaccins. Il n’est pas rare d’entendre des témoignages du genre : « C’est après son vaccin qu’il a commencé à tousser » ou « depuis le vaccin, son nez n’arrête pas de couler. Et les enfants de la voisine, qui n’ont reçu aucun vaccin, ne sont jamais malades, ou alors cela dure au maximum deux jours ».

Etudes tout autour du monde

Elles sont nombreuses et j’en cite un bon nombre dans mon petit livre.
L’étude espagnole de nos amis membres du efvv porte sur 314 enfants non vaccinés suivis pendant vingt-cinq ans (1975-2000), en bien meilleure santé que la population en général. Elle met en évidence le profil des familles en question, observant une majorité d’accouchements naturels à la maison ou en maison de naissance, un allaitement prolongé, l’utilisation de thérapies douces en cas de maladies et un apprentissage à l’autogestion de la santé.
A propos du profil des familles vaccinant peu, d’autres statistiques montrent également chez les mères un niveau social et d’éducation plus élevé et l’appartenance à des professions touchant à la santé. Le profil des pères n’est pas significatif. En Italie, on note que ce sont des italiennes, et non des femmes immigrées.
Les médecins, c’est bien connu, vaccinent moins leurs propres enfants que leurs clients, et la proportion de ceux qui ont des doutes sur le programme vaccinal est importante.

Un groupe de pédiatres a étudié 14.893 enfants d’écoles Steiner de cinq pays (Autriche, Allemagne, Hollande, Suède et Suisse) en comparant la santé des enfants élevés dans le style de vie des anthroposophes avec un groupe témoin. Ces enfants sont moins vaccinés que la population générale et ont donc encore l’occasion de « faire leurs maladies d’enfance ». Ils se portent mieux que les autres.
Un autre grand groupe d’enfants peu ou pas vaccinés est constitué par la clientèle du groupe médical Homefirst à Chicago, où travaillent des pédiatres élèves de Robert Mendelsohn , un grand ami d’Ivan Illich. On n’y trouve que très peu d’enfants asthmatiques ou autistes.
Et il y a bien sur la fameuse étude de Dan Olmsted chez les Amish de Pennsylvanie.

Pourquoi les enfants non vaccinés sont-ils en meilleure santé que les vaccinés ?

La réponse est multiple, citons trois points importants.

  • Pour les problèmes cérébraux et neurologiques, la faute est le plus souvent imputable aux adjuvants et métaux lourds contenus dans les vaccins, toxiques pour le système nerveux.
  • Des impuretés contenues dans les vaccins, tel l’ADN étranger, créent des réactions immunitaires de défense contre les propres éléments du corps, base des maladies auto-immunes (sclérose en plaques par exemple).
  • Pour l’asthme et autres réactions allergiques, il est évident que le système de réponse immunitaire est malmené par les vaccins. Le corps humain se défend naturellement contre les germes naturels grâce à la peau et aux muqueuses, alors que les germes vaccinaux sont introduits directement dans la circulation sanguine. De plus, la nature n’a pas prévu de nous mettre dans la situation de nous défendre contre 3, 6 ou même 9 microbes différents le même jour. Les défenseurs de la vaccination mesurent le taux d’anticorps sanguins spécifiques pour juger de l’efficacité d’une vaccination, mais ce n’est de loin pas le seul facteur d’immunité, car l’immunité cellulaire, très importante, ne peut être facilement mesurée.

Utilité toute relative des vaccins proposés ou imposés à nos enfants…et leurs dangers

La diphtérie est absente de nos pays et facilement traitée par les antibiotiques ; le tétanos touche principalement les vieillards, et il n’a jamais été prouvé scientifiquement que le vaccin soit efficace (la maladie elle-même n’est pas immunisante) ; la polio a disparu de nos pays, et son vaccin comporte des dangers ; le vaccin contre la coqueluche est inefficace et dangereux ; le bénéfice du vaccin contre l’Hemophilus est discuté et certains parents croient abusivement qu’il protège contre toutes les méningites ; quant à l’Hépatite B, maladie d’adulte entre toutes, c’est le comble du ridicule de l’imposer à des bébés.
Nous avons déjà parlé dans un précédent article de cette revue de l’aberration de vacciner contre les maladies d’enfance. Nous renvoyons aussi les lectrices et lecteurs à notre article sur l’autisme, le vaccin ROR et Andrew Wakefield .


Les dangers peuvent être amoindris en retardant au maximum l’âge de la vaccination. Une étude récente sur plus de 10.000 enfants montre qu’à l’âge de 7 ans, le nombre d’enfants asthmatiques est de moitié moins important si la première injection du vaccin DiTePer est retardée. Lorsqu’en 1975, le Japon décida de retarder l’âge des vaccinations à 2 ans plutôt que 2 mois, les taux de mortalité infantile diminuèrent fortement. La « mort subite » du nouveau-né, souvent liée au vaccin contre la coqueluche est une des causes fréquentes de décès dans la première année de vie. Une récente étude confirme ce fait : la mortalité infantile à un an, dans les pays riches (Etats-Unis en tête), est proportionnelle au nombre de vaccins imposés aux bébés.


L’étude KIGGS

Le 26 octobre 2010, sur la chaîne de télévision allemande Alpenparlament TV fut diffusée une interview d’Angelika Kögel, à propos d’une étude concernant la santé de plusieurs milliers d’enfants allemands de 0 à 17 ans. Il faut signaler qu’en Allemagne la vaccination n’est pas obligatoire, mais bien sur « fortement recommandée ».
Il est certain que le but des très officiels responsables de cette étude n’était pas de démontrer l’excellente santé des enfants non vaccinés, mais ils avaient compté sans l’astuce d’une mère de famille dont un des enfants avait été touché par un vaccin : Angelika Kögel, mathématicienne, statisticienne et responsable en Allemagne d’une association d’information sur les vaccins.



Voici des extraits du témoignage courageux et original d’Angelika Kögel


« De 2003 à 2006, la plus haute instance de santé allemande, l’Institut Robert Koch, a réalisé une grande étude sur la santé physique et mentale de 17641 enfants et adolescents âgés de 0 à 17 ans. On avait demandé aux enfants et à leurs parents de remplir au préalable un long questionnaire. Un médecin les interrogeait ensuite et procédait à une analyse de sang et d’urine des jeunes concernés. Les carnets de vaccination furent copiés quand ils existaient. On disposa ainsi pour chaque participant de 15 000 données, ce qui représente au total 26 millions d’informations.
J’étais très curieuse de connaître les résultats,  Lire le suite sur neosant.eu


2 - Vague de cancers dans l'armée italienne, les vaccins incriminés lire l'article

 Les études réalisées montrent la responsabilité des vaccinations multiples et répétées, telles que pratiquées hors protocole au sein de l'armée; celles-ci affaiblissent le système immunitaire, rendant ainsi les organismes plus sensibles en cas d'exposition à différents produits chimiques (uranium appauvri, dioxines, produits chimiques des décharges et des industries,...) et augmentant alors le risque de développer des maladies graves, comme le cancer. Lire la suite

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