Facebook, Twitter, Youtube, on vous surveille !

Les Nations Unies appellent à la surveillance globale et totale des usagers sur internet pour contrer le terrorisme


Dans un rapport de 148 pages, rédigé  par les Nations Unies et présenté à la conférence de l'Office des Drogues et du Crime, il est écrit que les terroristes utilisent les réseaux sociaux, incluant Facebook, Twitter, Youtube, pour diffuser leur propagande.
Des terroristes potentiels, toujours selon le rapport, utiliseraient des technologies de communication qui implique internet pour rejoindre leur audience et ce, de façon anonyme et peu coûteuse.
Le problème, conclut le rapport, est qu'il n'existe pas de systèmes de données internationaux où sont rassemblés les données nécessaires pour faire le suivi des terroristes potentiels.  Les cafés internet, les aéroports et les librairies sont des postes de travail où les terroristes peuvent agir de façon anonyme, sans aucun contrôle.
 
Le Département de la Justice américaine, avec ses lobbyistes, tente donc de convaincre le Congrès de déposer une loi qui oblige les fournisseurs à garder les traces de leurs clients et ce, informations qui seraient fournies à la police si nécessaire. [C'est déjà fait!  Reste simplement à faire approuver cette pratique pour la rendre légale et légitime aux yeux du public.]
La rapport ajoute les sites comme VoIP et Skype pour que toutes les conversations soient enregistrées, pour que les conversations instantanées sur les "chat" soient elles aussi archivées et conservées.
Source:
http://news.cnet.com/8301-13578_3-57537559-38/u.n-calls-for-anti-terror-internet-surveillance/?part=rss&tag=feed&subj=News-PoliticsandLaw

Nous savons désormais que Facebook est sur le point de faire d’immenses progrès dans le domaine de la reconnaissance faciale,
mais que pouvons-nous y faire?
Si vous faites partie de ceux qui souhaitent que leur sympathique réseau social les connaisse le mieux possible, j’ai une bonne nouvelle pour vous: vous n’avez rien à faire du tout.
Facebook active la fonction de reconnaissance faciale par défaut; vous n’avez donc qu’à vous rassoir et laisser vos amis apprendre aux algorithmes de la société comment identifier précisément votre visage sur leurs photos. En fait, il se peut que cela soit déjà le cas, car Facebook utilisait en partie la technologie de Face.com avant l’acquisition.

Comment désactiver la fonction?

Si, à l’inverse, vous êtes encore attaché aux notions désuètes de confidentialité et d’anonymat, ce n’est pas forcément une bonne nouvelle. Vous ne pouvez pas empêcher Facebook de savoir à quoi vous ressemblez grâce aux photos sur lesquelles vous êtes tagué, et si vous ne vous êtes pas déjà désinscrit, il connaît sûrement déjà bien votre tête.
Mais vous pouvez facilement désactiver la fonction qui permet à Facebook d’utiliser ces informations pour faire apparaître votre nom à chaque fois que vos amis téléchargeront une photo de vous.
Sur son blog Naked Security, Graham Cluley, de la société de sécurité informatique Sophos, explique comment. Son guide pratique est illustré, mais voici les trois principales étapes :
  • 1. Ouvrez vos paramètres de confidentialité de Facebook
  • 2. A côté de «Journal et identification», sélectionnez «Modifier les paramètres»
  • 3. A côté de «qui voit les suggestions d’identification lorsque des photos dans lesquels vous semblez apparaître sont téléchargées», sélectionnez «Personne», puis cliquez sur «OK».

Vers une monétisation de la reconnaissance faciale?

Vous remarquerez que les seuls choix sont «Amis» et «Personne». Sûrement soucieux de l’éventuel revers, Facebook ne vous donne pas la possibilité de laisser des étrangers vous identifier à partir de votre visage –pour l’instant en tout cas.
Et en-dehors de quelques avis comme celui de Jeff Jarvis, il est difficile d’imaginer beaucoup de gens réclamant que cette option soit ajoutée. (Ce qui ne signifie pas que Facebook ne le fera jamais, évidemment).
Dans son post, Cluley s’interroge:
«Si la base de données faciales de Facebook est un concept si génial, pourquoi le réseau ne propose-t-il pas à ses utilisateurs d’activer la fonction en soulignant les raisons pour lesquelles ils doivent le faire?»
Je suppose que c’est une question rhétorique. Comme je l’ai souligné précédemment, Facebook est déjà parvenu à donner de la valeur à ses utilisateurs. Son grand défi, désormais, est que ses utilisateurs aient de la valeur pour ses investisseurs.
On ignore encore comment Facebook compte monétiser la reconnaissance faciale –nul doute qu’il lui faudra être prudent. Dans tous les cas, prévoir l’option «désinscription» permettra à la société de constituer une base de données bien plus importante et plus intéressante que si elle avait demandé aux gens de s’inscrire d’eux-mêmes, comme le fait Google+.
Will Oremus
Traduit par Charlotte Laigle


Facebook espionne les messages privés et dénonce à la police
 
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Le réseau social Facebook est intrusif, c’est une chose certaine. Mais le géant californien s’octroie des droits qui violent la vie privée des utilisateurs en mettant en place un système d’espionnage 24h/24.
 
Il semble que ce soit la nouvelle mission de Facebook. Après s’être durablement implanté dans le domaine internet et avoir la main mise sur le petit monde des réseaux sociaux, Facebook désire maintenant concurrencer Interpol car il utilise, selon Reuters, un logiciel permettant d’espionner les conversations privées du milliard d'utilisateur afin de traquer de potentielles déviances et les dénoncer à la police.
 
Epier les conversations pour "traquer d’éventuels criminels"
 
Tout commence le 9 mars dernier lorsqu’un homme d'une trentaine d'années est arrêté en Floride, aux Etats-Unis, après avoir été dénoncé par Facebook qui l'avait surpris en train de donner rendez-vous à une fillette de 13 ans. Mais comment le réseau social a-t-il pu être au courant ? Simple : tout ce qui se passe sur les interfaces de Facebook est scanné, étudié puis archivé.
Selon Reuters, cette technologie passe au crible l’ensemble des discussions afin de traquer les pédophiles en s’aidant de mots-clés, de la différence d'âge entre les deux interlocuteurs, de la régularité de leurs conversations et de leur lien d'amitié (se connaissent-ils vraiment ou ont-ils des chances de se croiser, d’avoir des amis en communs…). En cas de doute, la police est alertée directement par Facebook qui livre ainsi une sorte de dossier à charge.
 
Mais il semblerait que ce phénomène ne touche pas que la détection des prédateurs sexuels mais "toutes les activités criminelles" et "toutes les activités qui vont à l'encontre des conditions d'utilisation". Dans ces dernières, le réseau social informe qu'il peut "être amené à partager des informations [...] pour empêcher la fraude ou toute autre activité illicite, pour prévenir tout préjudice corporel imminent ou protéger nos intérêts. Ceci peut inclure le partage d'informations avec d'autres sociétés, juristes, tribunaux ou toute autre entité gouvernementale". En gros, Facebook espionne puis dénonce.
 
Cela part d'un bon sentiment, mais c'est illégal
 
Un porte-parole du réseau social explique cependant qu’utiliser ces mots-clés ou faire une blague ne comporte aucun risque pour l’internaute lambda. "Nous n'avons jamais voulu mettre en place un environnement où nos employés regardent les communications privées, donc il est très important d'utiliser cette technologie qui a un taux très bas de faux positifs", explique Joe Sullivan, chef de la sécurité chez Facebook, à Reuters. Pour finir de rassurer, il ajoute que "d'importants contrôles internes régulent l'usage de ces outils pour éviter les abus".
 
Sauf qu’en France, comme dans de nombreux autres pays, "l'interception d'un message privé, même par un robot, peut suffire à caractériser une violation du secret des correspondances", explique le Nouvel Observateur. L'accès à des e-mails privés ne peut être justifié que si les autorités en ont fait la demande ou l'ont autorisé, sous peine de poursuite.
 
Facebook espionne (aussi) les SMS
 
En février dernier, le Sunday Times révélait que le géant le réseau social avait mis en place un système lui permettant d’'espionner les SMS et les appels téléphoniques des personnes ayant installé l'application Facebook sur les smartphones Android. Certes, le programme informe lors de l’installation qu’il aura un accès total mais cela ne signifie pas explicitement que les données seront épiées. D’autant plus que Le Figaro rapporte qu’un sondage réalisé par la CNIL en 2011 avait montré que 71% des personnes ne lisent pas toujours les conditions d'utilisation avant d'installer une application sur leur téléphone.
Un porte-parole de Facebook avait démenti vouloir "lire les SMS des utilisateurs", en expliquant que de nombreuses autres applications utilisaient ce type de réglage très permissif. Malgré ces affirmations, l'entreprise se réserve le droit d'accéder aux SMS à l'avenir "pour des tests". De quoi, pourquoi ; rien n’a encore été précisé…
 
Les cookies-trackers Facebook fonctionnent même après déconnexion
 
L’alerte avait été relayée par feu France Soir en septembre 2011. L’expert en sécurité informatique Nik Cubrilovic avait en effet découvert que même après s’être déconnecté, Facebook continuait de surveiller nos faits et gestes sur le Net. Le site laisse en effet sur chaque ordinateur un fichier qui contient des informations personnelles et continue à transmettre à Facebook les éléments sur la navigation de l'internaute.
 
Cette technique n'est pas une révolution, de nombreux sites l'utilisent afin de personnaliser les pages internet de l'utilisateur. Mais le cookie de Facebook a pour particularité de ne pas s’effacer après déconnexion. Pire, il se modifie et s’adapte. "Si vous vous connectez à Facebook depuis un ordinateur public, et que vous cliquez sur 'se déconnecter', vous laissez malgré tout derrière vous des empreintes digitales. D'après ce que je constate, ces empreintes restent présentes jusqu'à ce que quelqu'un supprime manuellement tous les cookies Facebook de l'ordinateur" expliquait Nik Cubrilovic.


La mission de Facebook : un réseau totalement ouvert
 
Gregg Stefancik, ingénieur du réseau social avait presque immédiatement communiqué à ce sujet afin d’éteindre la polémique grandissante : "Les cookies ne sont pas utilisés pour espionner les internautes. Ce n'est tout simplement pas leur rôle. Nous utilisons ces cookies pour fournir du contenu personnalisé, améliorer notre service ou protéger nos utilisateurs et notre service : par exemple pour nous protéger d'attaques par déni de service ou en demandant une deuxième authentification lorsque l'utilisateur se connecte depuis un endroit inhabituel". Et il assure que les cookies ne servent pas à des fins commerciales. Par ailleurs, il assure que les cookies de déconnexion ne sont pas utilisés pour suivre des utilisateurs pour de la publicité ciblée ou la vente d'informations à des tiers.
 
Cette ouverture du réseau peut certes être appréciable mais il ne faudrait pas que Facebook en abuse. De nombreux internautes n’apprécient que très moyennement que leurs contacts sachent quelle musique ils viennent d’écouter, à quels jeux ils jouent, que les applications publient en leurs noms... Et en parlant de noms, prenez garde, car Facebook vérifie dorénavant que vous utilisez bien le votre sur son réseau et non pas un pseudonyme.


Mon avis : en ce qui me concerne, c'est clair, j'ai mis des"j'aime" sur des articles pas très conventionnels pour la politique établie, mais rien de bien grave, ils sont bien apparues sur mon facebook, par contre si vous cliquiez dessus pour les lire, le lien était coupé, donc il y a bien une censure, à bon entendeur ! CavalierRandonneur

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