Facebook/Goldman Sachs : le couple infernal


Pourquoi cet article

Parce les dirigeants du monde financier international*,  les banquiers qui ont participé à la chute financière la Grèce (voir article en bas de page) (avec la complicité passive de la France et de l'Allemagne )  ont fait main basse sur le plus grand réseau mondial de communication privé : Facebook. 

Or Facebook n'est plus un espace de liberté (depuis la vente de ses actifs en cotation boursière), il contrôle la teneur et la source des "j'aime" que vous postez, et j'en ai fait l'expérience, même les Mails et SMS  sont triés (voir article ci-dessous) Le contrôle de l'information, donc de votre liberté d'expression, est effectif.

Godman Sachs, actionnaire de la Banque Férérale Américaine, est le bras armé de la finance américaine dans le monde, son rôle est de faire de l'argent et de prendre des participations hors USA, sans aucune moralité, et de défendre le monopole industriel américain sur l'énergie pétrolière et la défense du dollar, et cela à n'importe quel prix.(voir témoignage d'un tradeur ci-dessous et reportage sur ARTE)

La population américaine n'est pas vraiment consciente de ce qui se passe, par principe elle soutient et donne sa confiance, c'est l'esprit made in USA, le maintien de Barack Obama (Parti démocrate) à la tête des USA va ralentir l'influence de ces lobbys qui sont les patrons du Parti Républicain

Certain diront, c'est comme ça, on y peut rien, et bien c'est faux. Si 5 % de la population mondiale se rends compte de ce qui se passe, le processus peut s'inverser, et puis notre pouvoir est immense car, c'est nous qui payons, et notre façon de consommer ou de ne pas consommer, influence plus largement que n'importe quelle manif sur les boulevards. 

Voyez ce qui se passe avec les OGM en Europe. Si l'audimat de la TV s'effondre, les programmes changerons, si les journaux qui trient et cachent les infos qui dérangent, ne se vendent plus, de nouveaux journaux naîtrons, voyez Médiapart sur le net, et il y en a d'autres. 

Dans une société libérale comme la notre où le business est roi, c'est le consommateur qui a le pouvoir, plus que par le bulletin de vote, ce qui est dommage c'est qu'il n'en est pas conscient, mais cela viendra...

Il ne s'agit pas içi de faire de l'anti américanisme primaire, le peuple américain est aussi respectable et honnête que le notre, ce qui a changé, comme en Europe, c'est que les grands médias ne sont plus des porteurs de vérités, ils ont été rachetés par les principaux groupes industriels et financiers. Aussi le peuple américain est certainement la première victime des lobbys US, et la destruction du Word Trade Center le 11/09/01 en est la preuve.

N'oublions pas, au delà des religions, des partis politiques, des races, aucun être humain est plus ou moins important qu'un autre, nous sommes tous reliés, et nous avons tous le même destin.

Bonne lecture et n'oubliez pas "c'est vous qui avez le pouvoir"

*tout ce que vous lirez içi a été publié dans la presse, rien n'est inventé.
Goldman Sachs est actionnaire de la Banque Fédérale Américaine à hauteur de + de Mille Milliards de dollars


Goldman Sachs investit 500 millions dans Facebook, la SEC s'interroge

Le gendarme boursier américain veut s'assurer que la banque ne contourne pas les règles encadrant les sociétés non cotées.

Page d'accueil du réseau social (c) Afp
Le gendarme boursier américain, la SEC, a décider de se pencher sur l'investissement de la banque Goldman Sachs dans Facebook, pour s'assurer qu'il ne contourne pas les règles encadrant les sociétés non cotées, a affirmé mardi 4 janvier le Wall Street Journal. Selon le quotidien financier américain, qui cite des sources proches du dossier, les responsables de la Securites and Exchange Commission veulent "examiner les véhicules d'investissement spéciaux comme celui créé par Goldman Sachs et Facebook pour déterminer s'ils sont conçus avec pour but premier de contourner la règle dite des 500 actionnaires".
Selon la réglementation actuelle, qui date des années 60, quand une société non cotée atteint le seuil de 500 actionnaires, elle devient contrainte à divulguer certaines informations financières. De nombreux commentateurs ont vu dans l'investissement de 500 millions de dollars effectué par Goldman Sachs avec le groupe russe mail.ru (dont Goldmans Sachs est actionnaire principal) un moyen pour le site communautaire d'avoir accès aux clients de la prestigieuse banque américaine tout en restant sous ce seuil, et en s'affranchissant d'éventuelles contraintes de transparence. Le financement de Goldman compte en effet pour un seul actionnaire, alors qu'il regroupe tous ses clients.
"Si la SEC détermine que le véhicule financier a été créé pour contourner la règle des 500 actionnaires, l'agence pourrait forcer Facebook à compter chacun des actionnaires de cette structure dans le total de la société", explique le quotidien des affaires. Jusqu'à présent, le site aux 500 millions d'utilisateurs, soucieux de grossir sans avoir à se plier aux règles encadrant les sociétés cotées, a tout fait pour éviter de passer le seuil fatidique: ses employés ne sont par exemple pas autorisés à vendre des actions, et ceux embauchés depuis 2007 disposent d'actions sans valeur tant que Facebook n'est pas racheté ou introduit en Bourse, rappelle le journal. A lui seul, le fondateur du groupe, Mark Zuckerberg, détient 25% du site valorisé 50 milliards de dollars par l'investissement de Goldman Sachs. En fonction du résultat de son enquête, la SEC pourrait procéder à une refonte de la réglementation en vigueur, selon le Wall Street Journal. Pour le régulateur, poursuit le quotidien, la difficulté est de trouver un compromis entre protection des investisseurs et la volonté des compagnies non cotées d'accéder à des sources de capital.

(Nouvelobs.com, avec AFP)

 

Goldman Sachs : la banque qui dirige le monde

Un documentaire de Jérôme Fritel et Marc Roche sur la banque qui dirige le monde en plaçant ses hommes dans toutes les plus hautes institutions. Cette banque représente également des excès lors de la crise de 2008 ou lors du maquillage des comptes de la Grèce pour favoriser son entrée dans l'Union Européenne en 2001.
Documentaire très complet même si on omet de dire que Goldman Sachs a également subventionné la campagne électorale de Barack Obama en 2008 à hauteur d'1 million de dollars. A voir sur ARTE


VIDEO - Le passionnant documentaire d'Arte sur « la banque qui dirige le monde » décrypte, à la façon du film « Inside Jobs », la responsabilité de Goldman Sachs dans les dérives du capitalisme financier. Avec le risque d'en faire un bouc-émissaire commode.
Rarement un docu-fiction aura été aussi bien « marketté ». Diffusé ce mardi 4 septembre en « Prime Time » de la soirée sur Arte, l'enquête sur « Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde » proposé par Jérôme Fritel, journaliste à l'agence Capa, et Marc Roche, le chroniqueur financier du journal Le Monde dont il est le correspondant à Londres, a été annoncé à la presse depuis le mois d'août. Ce « thriller financier exceptionnel » mérite de fait que l'on s'y attarde, s'inspirant du succès du film « Inside Jobs » dont il reprend en partie les recettes, en mêlant témoignages exclusifs et images d'archives. « Inside Jobs » était la dénonciation d'un système, quasi-mafieux, qui a conduit à la crise des subprimes, et l'aveuglement coupable ? voire la complicité, dont ont fait preuve les responsables de l'époque. Le documentaire d'Arte concentre le tir sur un seul acteur, Goldman Sachs, en revenant en image sur les dérives dénoncées par Marc Roche dans son livre « La Banque. Comment Goldman Sachs domine le monde » (Albin Michel).
Tous ceux qui ont vu aussi le film « Margin Call », ne seront pas dépaysés. Ce qui est décrit des mœurs de Wall Street au travers de ce reportage est un monde fait d'arrogance et de cynisme, qui n'a pas hésité à spéculer sur la faillite des ménages américains ou sur celle des Etats, comme la Grèce, dont Goldman Sachs a été le conseiller occulte et in fine assez immoral. Bien sûr, le film n'échappe pas à un certain manichéisme. Goldman Sachs, présentée en Frankenstein des temps modernes, est la créature qui a échappé à ses créateurs : la « firme » de 30.000 personnes et qui pèse 700 milliards de dollars d'actifs est jugée coupable d'avoir transformé le monde en un vaste casino manipulé à son seul profit, quel qu'en soit le prix.
Des « moines banquiers »
Tout y passe : l'histoire d'abord, de cette banque d'investissement, qui n'a « ni enseigne, ni agences, ni visages », devenu un véritable supermarché de la finance (voir ici la formidable infographie animée disponible sur le site d'Arte). On apprend ainsi comment Goldman Sachs recrute ses « moines banquiers ». Une légende maison raconte que les nouveaux « associés » font l'objet d'un bizutage d'entrée rituel : réunis dans une salle de réunion à la veille d'un week-end férié, ils sont livrés à eux-mêmes pendant plusieurs heures. Les plus impatients, partis avant l'arrivée tardive d'un dirigeant qui fait signer une feuille de présence à ceux qui ont tenu stoïquement, seront licenciés le lundi matin...
Cette réputation de dureté n'a pas empêché Goldman Sachs, aujourd'hui dirigée par un enfant de Brooklyn, Lloyd Blankfein, de toujours recruter les meilleurs, quel que soit leur milieu social d'origine. Mais la banque « la plus puissante et la plus opaque » de Wall Street a, selon les auteurs du reportage, mal tourné à l'orée des années 2000 : il y a eu une dérive avec la titrisation financière et l'arrivée des génies des maths qui ont transformé le modèle d'une banque d'investissement à la papa vers la quintessence du casino financier. Nomi Prins, une ancienne salariée devenu écrivain, raconte qu'elle a fini par partir, dégoûtée de voir son responsable demander à ses traders de continuer à spéculer sur le marché du pétrole le 11 septembre 2001 alors que le premier avion avait percuté le World Trade Center, parce qu'il y avait « de l'argent à se faire ». Et que dire de « Fab le Fabulous », alias Fabrice Tourré, le trader français impliqué dans le scandale Abacus, et que son employeur a lâché devant la commission d'enquête du Sénat tout en ayant divulgué discrètement à la presse les mails privés qu'il échangeait avec sa fiancée et où il laissait entendre qu'il savait que la fin de la partie était proche, ce qui ne l'empêchait pas de continuer à vendre ses produits financiers aux gogos. Un Fabrice Tourré réduit au silence, parce que ses avocats étaient payés par Goldman Sachs.
Un réseau d'influence tissé autour de Barack Obama, Mario Draghi...
Marc Roche et Jérôme Fritel raconte aussi par le menu comment Goldman Sachs a su se tisser un réseau d'influence dans la sphère politique, aux Etats-Unis, mais aussi en Europe, au risque de flirter avec les conflits d'intérêt. Hank Paulson, le secrétaire américain au Trésor, un ancien dirigeant de GS. Mario Draghi, aujourd'hui président de la BCE, aussi. Même Barack Obama a été infiltré par la banque qui a réussi à reprendre la main et à passer entre les mailles du filet réglementaire qui aurait pu nuire à ses intérêts.
Les comptes maquillés de la Grèce à l'aide d'une banquière, grecque, de Goldman Sachs sont un autre épisode fameux de l'histoire récente. Là encore, rien d'illégal, mais une conception toute particulière de la ligne jaune que l'on peut ou pas franchir. Mais qui, in fine, est le plus coupable : le gouvernement grec, qui a cherché à tricher sans mesurer les conséquences à long terme de ses actes sur la confiance de ses créanciers...? Ou celui qui l'a aidé à maquiller ses comptes en ayant recours aux astuces les plus secrètes de la sophistication financière ? Les auteurs n'élude pas le débat sur Goldman Sachs, le coupable idéal, mais restent sur leur proie. Interrogé, dans son appartement parisien face aux jardins du Palais Royal, Jean-Claude Trichet ancien président de la BCE, met en garde contre la tentation de faire d'un seul acteur un bouc-émissaire qui conduire à éluder la responsabilité de tout un système, mais il reconnaît que Goldman Sachs concentre désormais par son caractère exemplaire la colère de l'opinion publique mondiale contre les banquiers. En revanche, interrogé sur le conflit d'intérêt éventuel de son successeur à la BCE, Mario Draghi, il refuse catégoriquement de répondre et demande que la question ne figure pas dans le documentaire. Pas de chance, cette fois, le off est rompu...
Goldman Sachs surnommerait ses clients les « bouffons »
Alors, quel contrepouvoir face à une telle puissance ? Il y a bien eu la révolte de Greg Smith, un ancien salarié dont la tribune publiée par le New York Times, a fait le tour du monde. Selon Smith, Goldman Sachs aurait commencé à perdre son âme dés lors que la culture maison a cessé de placer en premier l'intérêt de ces clients qui seraient appelés en interne les « bouffons ». Calomnie de la part d'un salarié amer ? Ou bien véritable perversion d'un acteur qui serait devenu le Darth Vador de la finance mondiale ? Mais si tel était le cas, ces dérives étant publiques, Goldman Sachs aurait dû voir fuir tous ses clients. Or, tel n'est pas le cas. Au contraire, la banque n'a jamais été aussi globale. C'est finalement l'ancien économiste en chef du FMI, Simon Johnson, qui livre en fin de documentaire la clef du débat : selon lui, « nous n'avons pas besoin de banques de cette taille », autrement dit il serait une œuvre de salubrité publique mondiale de lui faire rendre gorge en la démantelant. Mais qui aurait le pouvoir d'abattre Goldman Sachs, sinon ses clients ? Les gouvernements, eux, ont renoncé (abdiqué ?). Et si, finalement, Goldman Sachs était un mal nécessaire au capitalisme, le prédateur absolu de notre écosystème, capable de survivre à toutes les crises. Sur cette résilience de Goldman Sachs, qui a déjà affronté maints procès du même type, Marc Roche et Jérôme Fritel se gardent bien de trancher.

(Re)voir le documentaire :
« Goldman Sachs, la banque qui dirige le monde »
Gouvernements, institutions internationales, grandes entreprises... Nul acteur de l'économie et de la finance n'échappe aujourd'hui à la toile tissée par Goldman Sachs, une "mégabanque" sans laquelle peu de décisions sont prises, et grâce à laquelle nombre de "coups" sont mis en œuvre. Au risque, souvent, de flirter avec l'illégalité.
Date de la première diffusion : Arte, mardi 4 septembre, 20h40.







INITIÉ – Goldman Sachs, les petites annonces et l’exploitation sexuelle


Le siège de Goldman Sachs à New York. (REUTERS/BRENDAN MCDERMID)
Backpage.com est un site de petites annonces américain. Comme nombre de plateformes de ce genre, il comporte des sections "adulte" classées par ville (au hasard à Auburn, Alabama), et détiendrait même 70 % du marché national des petites annonces liées à la prostitution. Plus inquiétant, selon Nicholas D. Kristof, célèbre éditotialiste du New York Times, Backpage est le plus gros forum pour tout ce qui a trait à l'exploitation sexuelle de mineures aux Etats-Unis. Or, explique le double lauréat du prix Pulitzer dans une tribune intitulée "Financiers and Sex Trafficking", un des propriétaires de Backpage n'est autre que... la banque d'affaires Goldman Sachs.
"Ce grand magazin pour filles et femmes – dont certaines sont mineures et contraintes à se prostituer – est la propriété d'une compagnie privée pour le moins opaque, Village Voice Media. Jusqu'à récemment, il était difficile de savoir qui en étaient les propriétaires. Ce mystère est désormais résolu", écrit-il : Goldman Sachs posséderait 16 % des actions de Village Voice Media, à côté d'autres investisseurs privés.
Les principaux propriétaires de Village Voice Media sont Jim Larkin et Michael Lacey, les deux managers de la société, "et ils semblent posséder la moitié des actions". Parmi les autres propriétaires, le plus célèbre est Goldman Sachs, qui a investi dans la société en 2000 (avant que Backpage ne devienne la propriété de Village Voice Media en 2006). Un administrateur délégué de la banque, Scott L. Lebovitz, a même fait partie du conseil d'administration de Village Voice Media pendant plusieurs années, selon Nicholas D. Kristof. Il ne l'a quitté que début 2010, à en croire Goldman Sachs.
Faut-il fermer la section adulte de Backpage ?
Il ne fait aucun doute que la plupart des annonces de Blacpage sont le fait d'adultes majeurs et consentants. "Mais il est également clair que ce site joue un rôle majeur dans le trafic de femmes et de mineures. Au cours d'une affaire récemment jugée à New York, le procureur a expliqué qu'une fillette de 15 ans avait été droguée attachée, violée et vendue par le biais de Backpage et d'autres sites", précise Nicholas D. Kristof. (Pour le détail de l'affaire, voir le communiqué du procureur de la République).
Les activités sulfureuses de Backpage sont largement connues. Le 23 mars, dix-neuf sénateurs ont écrit une lettre à Village Voice Media pour lui demander de cesser de soutenir les responsables de la traite sexuelle. Récemment, des militants ont manifesté devant le journal Village Voice, propriété de Village Voice Media. Et une pétition signée par 220 000 personnes demande à la société de fermer la section "adulte" de Backpage.com. Goldman Sachs ne peut donc ignorer qu'il possède un site internet facilitant le commerce de femmes et de mineures.
"Soyons clair, écrit Nicholas D. Kristof : il s'agit d'un investissement minime réalisé par une énorme société, et je n'ai aucune raison de penser que les hauts responsables de Goldman soient personnellement au courant des liens entre cette entreprise et le trafic d'êtres humains". Mais "il n'y a aucune indication qui montrerait que Goldman ni aucun autre propriétaire de Village Voice Media se soit servi de son pouvoir pour supprimer les annonces d'escort-girls ou vérifier les âges".
"Le dilemme Backpage"
La polémique lancée par le New York Times fait du bruit aux Etats-Unis. Pas tant sur la responsabilité supposée de Goldman Sachs que sur l'opportunité de fermer la section "adulte" de Backpage. Dans un article intitulé "Le dilemme Backpage", Salon.com donne la parole aux responsables de Village Voice Media et tempère la colère de Nicholas D. Kristof.
Selon la direction de Village Voice Media, Backpage a mis en place un système de filtres automatisés qui "exclut les annonces comportant des mots et des phrases suspectes". A cela s'ajoute une relecture humaine de tous les contenus proposés dans les sections "adultes" et "personnelles" avant qu'ils soient postés, complétée par une deuxième lecture après publication. Et quand Backpage identifie une annonce pouvant concerner un mineur, elle prévient immédiatement le National Center for Missing and Exploited Children.
Au-delà du cas particulier de Backpage, Salon.com s'interroge sur la tension entre un internet libre et la nécessité de lutter contre le crime, entre "l'horreur" qu'on ressent face au trafic des mineurs, et la conviction "que les adultes devraient avoir le droit de faire ce qu'ils veulent sur le plan sexuel, même si cela implique une transaction financière".
Faut-il fermer la section adulte de Backpage ? Rien n'est moins sûr, estime Salon.com. "Backpage.




"C'est Goldman Sachs qui dirige le monde, pas les gouvernements"

VIDEO. Interrogé par la BBC, un trader de Londres avoue à l'antenne ne pas se soucier


Rastani, le trader qui "priait" pour la... par asi

Alessio Rastani, interrogé par la BBC le 26 septembre 2011 (BBC)
Interrogé lundi 26 septembre sur la BBC, Alessio Rastani, un trader indépendant de Londres, a parlé crûment de la crise financière actuelle. "L'économie va s'effondrer, et très durement. (...) Les solutions envisagées ne vont pas marcher."
Questionné sur les solutions politiques qui pourraient rassurer les marchés, il n'a pas non plus fait dans la dentelle: "Nous ne soucions pas vraiment d'avoir une économie qui repart. Notre boulot, c'est de faire de l'argent. Personnellement, j'ai rêvé de ce moment pendant trois ans. J'allais au lit en rêvant d'une nouvelle récession. (...) La récession est une opportunité pour nous."
"Les gouvernements ne dirigent pas le monde. C'est Goldman Sachs qui dirige le monde", a-t-il ajouté, avant de mettre en garde le grand public: "Protégez vos actifs. Dans moins de douze mois, je pense que l'épargne de millions de gens va disparaître. Le pire est de ne rien faire."

Goldman Sachs et la crise des Subprimes : Coupable mais avec un parachute en OR massif 


 source : Wikipédia

Crise des subprimes

Dans la deuxième partie de l'année 2007, Goldman Sachs est l'une des seules entreprises dans le domaine financier à ne pas avoir perdu d'argent en anticipant la crise des subprimes12. En 2008, Goldman Sachs compte environ 30 000 employés9. La même année, le groupe bancaire annonce un bénéfice en baisse de 70 %.
Le 21 septembre 2008, en raison des pertes considérables subies par leurs implications dans la crise des subprimes, le groupe demande et reçoit l’approbation de la Réserve Fédérale (Fed) pour un changement de statut : de banque d’investissement (investment bank) elle devient la quatrième holding company du pays13. Le groupe peut alors bénéficier des nouvelles liquidités de la Réserve Fédérale débloquées par le plan Paulson14. Le secrétaire du Trésor Henry Paulson étant un ancien président et directeur de la banque Goldman Sachs, des critiques soulèvent qu'il y a un possible conflit d’intérêts15. Il ne sera cependant jamais inquiété par la justice. Ce sauvetage semble ne pas être sans contreparties : le capital de Goldman Sachs change de mains. Ainsi, Warren Buffett entre officiellement dans le capital de la banque en injectant 5 milliards de dollars.
Goldman Sachs a reçu, à l'automne 2008, près de 13 milliards de dollars que lui devait American International Group, qui lui-même a été renfloué par la Fed16.
En juillet 2009, le magazine américain Rolling Stone publie un article de l'écrivain politique Matt Taibbi où ce dernier accuse Goldman Sachs d'avoir provoqué la plupart des « manipulations de marché » ou bulles, lors de ces 80 dernières années17.
En avril 2010, la Securities and Exchange Commission poursuit Goldman Sachs et Fabrice Tourre, un de ses vice-présidents, pour fraude dans les événements entourant la crise des subprimes, « une affaire qui pourrait avoir coûté plus d'un milliard de dollars aux investisseurs »18,12. Le 15 juillet 2010, la société a décidé de verser 550 millions USD pour mettre fin à la poursuite19.
En mai 2010, le Département de la Justice des États-Unis « a ouvert une enquête pénale sur Goldman Sachs au sujet de vente de titres adossés à des crédits hypothécaires à risque »20.
Le 2 septembre 2011, le gouvernement des États-Unis entame des poursuites judiciaires contre Goldman Sachs pour son rôle dans la crise des subprimes21.
En octobre 2011, La Tribune publie un article dans lequel elle soupçonne Goldman Sachs ainsi que d'autres gros acteurs du marché des matières premières de créer artificiellement, avec la complicité du London Metal Exchange, une pénurie de zinc et d'aluminium et ainsi spéculer à la hausse sur les cours22.

Crise des dettes publiques en Europe

En février 2010, le New York Times affirme que Goldman Sachs porte une responsabilité directe dans l'aggravation de la crise de la dette publique grecque. 



 Elle aurait aidé le gouvernement grec à camoufler sa dette grâce à des outils financiers qui lui auraient permis de dissimuler ses transactions tout en renflouant ses comptes avec l'aide d'autres banques américaines. Goldman Sachs en aurait tiré 300 millions de dollars de bénéfices23
Le 16 août 2011, Alan Brazil, stratégiste haut placé de Goldman Sachs, remet un rapport de 54 pages aux centaines de clients institutionnels de la firme. Il recommande aux Hedge Funds de tirer profit de la situation en spéculant sur une aggravation de la crise de la dette en Europe. L'affaire est révélée par le Wall Street Journal24,25.
En novembre 2011, la crise de la dette grecque en Europe nécessite plusieurs remaniements dans les gouvernements.

Les représentants de Godman Sachs sont à la tête de l'europe: Leur but détruire l'euro pour rétablir la suprématie du dollars

 En Grèce, le premier ministre Geórgios Papandréou est remplacé par Loukás Papadímos, ayant travaillé à Goldman Sachs26. En Italie, le Cavaliere est remplacé par Mario Monti, ayant aussi travaillé à Goldman Sachs26. Mario Draghi, vice-président de la branche européenne de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs de 2002 à 2005, succède à Jean-Claude Trichet le 1er novembre 2011 à la présidence de la Banque centrale européenne (BCE).
Le 6 novembre 2011, l'économiste britannique Jim O'Neill estime que la zone euro sera démantelée en cas d'intégration budgétaire plus poussée. Dans un entretien publié par le Sunday Telegraph, le président de Goldman Sachs Asset Management, pense que certains pays vont quitter la zone euro plutôt que de dépendre de règles budgétaires plus centralisées. La division que dirige Jim O'Neill gère plus de 800 milliards de dollars (581 milliards d'euros) d'actifs27. Marc Roche estime que Jim O'Neill « tient le haut du pavé dans la défénestration de l'euro »28.

Délits d'initiés

Le 26 octobre 2011, Rajat Gupta, ex-administrateur de la banque Goldman Sachs et ancien directeur général du cabinet McKinsey & Company, est arrêté et incarcéré par le Federal Bureau of Investigation pour délit d'initiés dans l'affaire du fonds d'investissement Galleon29, et reconnu coupable en juin 2012.
Le 15 fevrier 2012, le Financial Times révèle que Henry King, analyste de Goldman Sachs pour le secteur technologique, fait l'objet d'une enquête du bureau du procureur de New York pour délit d'initiés30.

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