Photos Souvenirs

Equirando à Rochefort en 1991, première véritable expérience de cavalier randonneur, deux semaines de rando au départ de La Flèche vers les Charentes soit 250 kms environ.
Avec Vasco, Flika, Uvanic et Sacré Stuart, trois trotteurs et une camargue.


Le Mont Saint Michel en 2009 avec les copains



Flambeau et Ivanoë sur le départ en rando


le port d'attache...en vallée du Loir



......au pied des vignes du Jasnières


Vichy - Le Puy en Velay en 1996 avec Flambeau, içi Flika petite camargue de mon compagnon de route.



Ivanoë dans les Cevennes sur la piste de Stevenson en 2005







Voyage en Inde en 2007, autre mode de transport...



...ci dessous désert du Wadi-rum en Jordanie 1999


Randonnée chamelière dans le désert du wadi rum au sud de la Joradanie à la frontière de l'Arabie saoudite.
Le port du keffieh aide à supporter la chaleur et le vent de sable, ce tissus en coton est très confortable.
Ce lieu est époustouflant, intemporel et a été laissé quasiment intact par les hommes. 
Ici, ce sont l'eau et le vent qui ont sculptés ces tours gigantesques et imposantes, décrites avec élégance par T.E.  Lawrence comme « vastes, résonnantes, à l'image de Dieu
La température passe de 32 ° à 4 degré la nuit, aussi faut il prévoir pour le bivouac des vêtements chauds et un sac de couchage.
Le soir il fait nuit tôt, le cuisto a prévu du bois pour faire un feu, et alors que le repas s'achève de jeunes bédouins (en 4x4) viennent voir les touristes, surtout leurs femmes, et chantent des mélodies du pays, ambiance intimiste où seules les flammes du foyer viennent éclairer les visages de ces humains aux traditions tellement différentes.




  Randonner sur un dromadaire est une expérience bien différente par rapport à l'équitation.
L'animal est calme, marche doucement dans le sable et balance son corps de gauche à droite, oscillant comme une berceuse attentive. Sous la chaleur les roches à l'infini défilent doucement sous le pas tranquille de l'animal, les bédouins devant chantent des mélodies populaires qui donnent à ces lieux  un charme et une ambiance de total dépaysement, notre présence parait même incongrue. Visser sur la selle de bois à peine rembourrée de couvertures, je me laisse porter, les yeux  seuls dépassent du keffieh, je m'installe dans un silence respecteux des lieux et des hommes, en ces heures où le temps s'efface comme les traces des pieds plats du méhari sur le sable.
Dans le silence du désert seul le vent accompagne les chanteurs, aux pas assourdis par le sable, de ces nobles vaisseaux du désert.
Dromadaire, mode d'emploi :
Pour faire assoir votre méhari il faut tirer vers le bas sa tête avec la corde qui passe à travers les narines, en emmettant un bruit avec la bouche très particulier, laissez passer de l'air entre vos molaires et faites résonner à l'intérieur de votre joue.
Pour le faire avancer criez, yallah ! yallah ! (traduction de va ! expression reprise par soeur Emmanuelle dans les bidonvilles du Caire, pour traduire une énergie de combat pour la vie)

Posts les plus consultés de ce blog

Dossier 1/4 - Dr. Judy Wood "Where Did the Towers Go ?" - WTC 11/09 - un ouvrage scientifique - une autre vérité

Le canon de Pachelbel, le son qui soigne