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De Diogène Laërce à Coluche

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Etre Fan, titre d'une chanson à succès bien connue, c'est un peu une mode, tout le monde à son acteur ou chanteur préféré, voir son people au physique (reconstitué) plutôt avenant, vedette TV ou politique talentueux dans sa communication , et bien moi je suis Fan de ...  Diogène Laërce

Vous avez dit Sapiens ?

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On ne sait rien, ou si peu ... Après un déjeuner rapide entre deux occupations nécessaires à la survie de l'hominidé que je suis, bref du TAF (travail a faire),  mon esprit alourdi par une digestion difficile due non pas à la quantité de la nourriture absorbée, mais plutôt à sa rapidité d'ingestion, je somnolais pendant le petit quart d'heure de sieste improvisée que je m'octroie quotidiennement, réparateur d'un labeur assidu.  A défaut d'une voix douce et rassurante chantonnant le traditionnel "fait dodo mon ptit " gars, je laisse la radio bercer ce repos bien mérité. Après quelques ronrons fort discrets, puisqu'ils ne m'ont pas réveillé, mon oreille aiguisée détecte quelques mots qui me sortent d'une léthargie pesante: " Homos-sapiens, Néandertalien" Aussitôt je m'éveillais, l'esprit aiguillonné par la soif de culture qui talonne naturellement chacun d'entre nous, et comme l'abeille recueille le nec

Mémoire du temps

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Voici quelque photos des USA de 1885 à 1917, de France aussi. Comme partout ailleurs dans le monde l'unique moyen de transport était le cheval, les chevaux partagent le quotidien des humains dans les joies, le travail et les peines. Nos amis d'outre atlantique d'une modernité avantgardiste ont pris des clichés qui nous manquent en Europe, en tout cas facile à trouver sur le net et d'une qualité étonnante pour l époque. Pompiers  de New York , transport de la grande échelle, des percherons ?

Sans commentaires

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Combats de chevaux en Chine, coutume vieille de 500 ans, très prisée par la communauté Miao.

Petite leçon d'optimisme

Je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager la chronique de François Morel, écrite avec le talent qu'on lui connaît, tant par la qualité de la syntaxe et de l'écriture, que par une qualité d'indignation caustique, qui à chaque fois, font de ses chroniques de minis chef d'oeuvre, d'un humour sans aucune vulgarité, où les personne ne sont pointés du doigt que sur leurs actes, sans jamais tomber dans la bassesse des quolibets moqueurs et irrespectueux. CavalierRandonneur Bonjour. Tandis que je m'apprêtais à rédiger la chronique de ce jour, mon esprit vagabond vint frapper à la porte de ma conscience aiguisée, afin de lui soumettre un certain nombre d'interrogations, que je me permet de vous révéler, en préambule. N'as t on pas tendance à n'utiliser l'encre noire du pessimisme, pour rendre compte de l'actualité du monde, à ne regarder notre époque qu'à travers les lunettes sombres et déformantes de la désespéra

Portrait de L'homme qui parle à ses collègues les chevaux de traits(1)

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Une rencontre avec Jean-Baptiste ne laisse jamais indifférent. L'homme à la politesse d'avoir un physique proche de celui de ses chevaux, trappu, voir un peu rond, voila pour les chevaux, une bouille de Père Noël, de grosses bacantes qui cachent une bouche ou se pose souvent une sèche roulée à la main, et une barbe blanche qui peut prendre un certain volume en hiver, des yeux bleus qui vous regarde droit, et un fort accent  Francom(toa), qui enrobe un discours attentif et passionné, de l'humour à revendre, Jean-Baptiste est un comteur né.

Mémoire d'un cavalier randonneur

L'homme est assis dans son fauteuil près de la fenêtre, de là il peut voir le jardin et les fleurs près du potager entretenues avec patience malgré les années qui commencent à peser, mais surtout il peut voir, juste derrière le grand prunier, le pré ou broute son dernier cheval, celui qu'il a acheté il y a bien longtemps, oh un vieux rêve, un splendide Camargue qu'il était allé chercher dans une manade près d'Aix en Provence. Les année ont passées, le temps à fait son oeuvre et tous deux se reposent chacun dans leur coin, mais sans vraiment se quitter des yeux. Chaque matin aux aurores le vieux cavalier, apporte une poignée de picotin à son vieux copain, "histoire d'entretenir l'amitié", comme il aime le dire aux amis qui viennent le voir.