2013 année de l'énergie libre ?

LE PRINCIPE GENERAL POUR CREER SON ENERGIE SOI-MEME
exposé par Léon Raoul Hatem :

 

(extraits) 
L’univers ne consomme aucune énergie. Il ne s’use pas. Il produit en permanence le mouvement dont il a besoin pour évoluer vers son but. Cela aujourd’hui se démontre aisément, même si l’on enseigne encore l’absurde théorie du « Big Bang ».
Pour comprendre le principe producteur d’électricité, il faut connaître le Principe de la Mécanique Universelle qui produit sa propre Energie Cinétique en permanence pour l’Eternité, tant au niveau des particules atomiques qu’au niveau planétaire, sachant que toute masse quelle qu’elle soit, est un AIMANT possédant sa double polarité magnétique, et non une « masse » de « matière » faites de particules à « charge unique », qui s’attireraient par exemple par « gravitation » newtonienne ou équivalent.




Dans la réalité, toutes les masses sont des aimants complets qui se mettent eux-mêmes en rotations synchronisées des pôles magnétiques lorsque les conditions le permettent. Nous le démontrons avec des appareils qu’on peut voir fonctionner sur demande. Deux aimants en présence l’un de l’autre se mettent en mouvement, créant ainsi de l’énergie cinétique sans aucune consommation. L’idée qu’il faut consommer pour produire un travail est fausse. Les aimants montrent chaque jour le contraire. L’univers montre chaque jour le contraire. Il ne puise pas son énergie dans un « stock » pour faire tourner les étoiles jusqu’à une éventuelle « panne sèche ».
Il y a un autre phénomène très important inconnu des physiciens : lorsque deux pôles se rapprochent mutuellement l’un de l’autre, ils produisent plus que lorsqu’un seul pôle se rapproche d’un pôle fixe. Et lorsqu’ils s’éloignent l’un de l’autre, ils ne se freinent pas, bien qu’ils continuent à s’attirer, contrairement à ce qui se passe si un seul aimant s’éloigne d’un autre qui, lui, serait fixe. C’est la DEGRAVITATION ou DEFREINAGE MAGNETIQUE, découverte qui permet de comprendre l’énergie de l’univers pour la première fois : comment un atome ou un système planétaire se met en route, s’accélère puis se stabilise. C’est une révolution scientifique qui, pour le moment, a été tenue à l’écart par la Communauté scientifique..

LE SYSTÊME PRODUCTEUR D’ELECTRICITE

Il ne s’agit pas ici de « mouvement perpétuel », c’est-à-dire de chercher à ce que les mouvements se mettent en route tout seuls, même si dans l’univers c’est le cas.
PRINCIPE MECANIQUE : un moteur alimenté par une source très limitée (solaire, batterie ou courant du réseau etc.) muni d’un disque magnétique entraîne en synchronisme (à distance et sans frottement) un premier alternateur muni aussi d’un disque magnétique à « polarités contraires » au premier. Cet alternateur produit alors son électricité, continue ou alternative selon le cas. Il ne consomme rien (c’est le moteur primaire qui consomme). Cela n’est possible que grâce à la Dégravitation. Jusque là, donc on ne gagne rien. Mais ce premier alternateur peut être en relation avec autant d’autres alternateurs que l’on veut, dans le mêmes conditions magnétiques. Ainsi, chaque alternateur produit sa quantité d’électricité. Mais seul le moteur primaire consomme, et toujours, à très peu de chose près, de la même façon.
On peut donc multiplier la production par des modules ajoutés à volonté, sans augmenter la consommation. Ce n’est pas une hypothèse, même si les physiciens considèrent que ce n’est pas possible. A certaines époques ils considéraient aussi qu’un plus lourd que l’air ne peut voler.
Le système fonctionne, même si cela dérange évidemment, et chacun peut le voir.
La reproduction industrielle pour que chacun puisse l’utiliser chez soi ou dans les entreprises n’est plus qu’une question de moyens financiers et techniques. Alors une partie importante de l’électricité centralisée deviendrait inutile. On pourrait fermer la moitié au moins, sinon les neuf dixièmes, des centrales nucléaires. Un jour ce sera le cas. Il dépend de chacun que ce jour soit proche ou lointain, et si vous voulez y contribuer, il suffit de nous contacter.
On utilise donc des alternateurs à choisir selon les besoins : petits alternateurs de voiture, gros alternateurs de chantiers ou autres, mais pour une industrialisation il sera nécessaire de produire des alternateurs spéciaux mieux adaptés. Ces alternateurs, générateurs ou autres systèmes, alignés en file indienne ou en cercle, sont munis sur leur axe de sortie de disques en plastique dur, aluminium ou autres (non ferreux), munis d’aimants sur la périphérie, disques qui tournent par synchronisme magnétique à l’aide des disques semblables des autres alternateurs, et cela en nombre indéfini.
Les amiants peuvent avoir toutes formes, et être fixés par tout moyen.
Tous les aimants d’un même disque doivent se présenter de même polarité, face à un disque présentant des polarités opposées, et alternativement. L’écartement d’un aimant à l’autre sur le disque peut atteindre la largeur d’un aimant ou plus.

La puissance d’entraînement magnétique doit être au minimum égale à la puissance produite par l’appareil entraîné.


LE MECANISME :

Lorsque le moteur tourne, entraînant son disque (ou des disques accouplés) à proximité d’un autre disque semblable fixé sur l’axe d’un alternateur, ce dernier se met à tourner en synchronisme avec les aimants du disque-moteur.
Et là, nous avons maintenant deux appareils de la même puissance au lieu d’un seul, qui produisent chacun la même énergie en dépensant à peine plus d’énergie du secteur que le seul moteur.
Si vous utilisez deux alternateurs ou même plus de deux, pourquoi pas DIX alternateurs (ou plus), vous produisez alors presque dix fois plus d’énergie que vous n’en dépensez (et mieux encore grâce à une formule tenue secrète pour le moment). Lorsque le moteur tourne, il entraîne toute la série d’alternateurs à la même vitesse de rotation, chacun produisant sa propre énergie qui s’ajoute à toutes les autres.
Les disques en matériaux amagnétiques garnis d’aimants doivent être fixés solidement sur les axes de rotation des divers éléments utilisés (moteur, alternateurs ou autres). Si possible, pour éviter le glissement des arbres sur les axes, il est préférable d’utiliser des alternateurs qui sont munis de clavettes d’entraînement sur les arbres de sortie.
Les applications sont innombrables. Un jour on utilisera ce système dans des trains ou des automobiles pour les rendre autonomes ou presque en énergie. Copier l’univers qui produit sa propre énergie plutôt que consommer une énergie limitée est la formule d’avenir. Evidemment, aujourd’hui, rien ne sera fait officiellement pour aider à cette mutation. Au contraire. Les « Sept Sœurs » (principales compagnies pétrolières) ont réitéré il y a quelques années leur accord secret pour que rien ne soit fait au profit des énergies alternatives tant qu’il resterait une goutte de pétrole dans le monde. Et avec les schistes, elles sont tranquilles (car elles ont le pouvoir d’en imposer l’exploitation). C’est probablement la même chose au niveau de l’uranium.
Le bénéfice de l’électricité libre magnétique pour la communauté sera très vite extrêmement sensible en termes de coût de l’énergie et en termes de respect de l’environnement. Les aimants ne sont pas des produits consommables (même si leur fabrication n’est ni facile ni anodine), ils ne perdent pas leur énergie même après des centaines d’années d’utilisation. Les disques sont donc toujours réutilisables même si les alternateurs finissent par s’user. Les techniques modernes permettent la fabrication d’aimants de plus en plus facilement et de toutes formes, et avec des puissances modulables. Un jour les Terriens résoudront eux aussi tous ces problèmes.



Certains pensent que comme l’Hyperscience n’est pas physique, elle n’est pas expérimentale. C’est l’inverse. On obtiendra beaucoup plus d’applications, et beaucoup plus judicieuses et justes, en s’appuyant sur des principes abstraits non physiques qu’en cherchant la rentabilité immédiate et le profit à court terme à partir de théories accrochées à des préjugés et apparences trompeurs. On remet en cause les théories d’Einstein comme la vitesse de la lumière etc., cela n’empêche pas que les bombes atomiques fonctionnent. Hélas, certes. Mais on n’a jamais cessé de produire des applications efficaces à partir de théories foncièrement fausses. Cela n’a rien à voir. Mais quand une théorie est juste, alors les applications sont foison, voire potentiellement infinies. A chacun de l’expérimenter. 

Sources :
Lire tout l'article sur lapressegalactique.com
photos dessins   rexresearch.com
exposé http://www.hatem.com/atom.htm

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Dossier 1/4 - Dr. Judy Wood "Where Did the Towers Go ?" - WTC 11/09 - un ouvrage scientifique - une autre vérité

Le canon de Pachelbel, le son qui soigne