LES NON-DITS EN SANTÉ PUBLIQUE DOIVENT ÊTRE PRIS EN COMPTE POUR PRÉPARER L’AVENIR Les politiques rêvent de réduire les coûts de la santé. Mais les solutions qu’ils proposent n’ont aucune chance d’être efficaces. Voici pourquoi : Un constat sans concession - La médecine : un business pur et dur L’augmentation considérable du nombre de malades atteints de maladies de civilisation liées à des comportements contraires à la santé devient un vrai business. Le diabète, le surpoids et l’obésité, les maladies auto-immunes… des rhumatismes à l’Alzheimer ou Parkinson toutes ces maladies remplissent les cabinets médicaux qui traitent les symptômes plus que les causes réelles. On réduit l’inflammation sans en connaître l’origine. On donne des antihormones quand les hormones, comme contraception ou au moment de la ménopause, sont responsables des cancers du sein, de l’ovaire et de l’utérus ; et on tranquillise les patientes en leur soutenant mordicus que, grâce à